Je voulais ce matin recopier le passage du livre de Barberot à ce sujet. Bon, il ressemble assez à celui de Notin mais en plus gentil pour les Italiens.
"Avant de filer sur Tarente, les chars, les camions et les jepps ont été équipés de prises d'air qui leur permettront, au moment du débarquement, de rouler dans un ou deux metres d'eau et d'atteindre les plages."
Bon, rien à voir avec les évenements de Tarente mais c'est pour faire écho à la préparation de sa jeep par Robert Leon.
"Tarente est la première ville italienne où l'hostilité des hommes se manifeste ouvertement contre nous. Non sans courage. Des marins italiens ont arboré sur leur bonnet des tomates en signe de dérision pour les bonnets à pompons français.
Cette insolence déclenche une violente et sanglante bagarre qui s'enfle aussitôt et mobilise peu à peu toutes les unités qui se mettent spontanément en marche vers la ville.
Tarente doit être punie.
C'est à Diego Brosset que la ville doit de n'être pas mise à sac. Il court de groupe en groupe, adjure les hommes, promet que les responsables seront punis, ordonne dans le style direct et vivant qui est le sien. Il réussit à faire revenir les unités dans leur cantonnement.
Tarente s'apaise."
Visiblement, Barberot ne veut pas non plus rajouter de l'huile sur le feu.
Pour m'avoir devancé en citant Notin, Madame Léon est prié de présenter le livre de ce dernier.
Na
Jacques |