Jusqu'à aprés Munich, n'étant en charge d'aucune responsabilité gouvernementale, son opinion n'était que celle d'un citoyen lambda.
Je n'ai pas eu connaissance d'une particulière prévention précoce contre le nazisme bien au contraire, il semble avoir émis publiquement une chaleureuse approbation du fascisme de Mussolini.
Il aura été plus viscéralement anticommuniste que antinazi.
En témoignent, plusieurs de ses orientations en politique générale, et en stratégie de la guerre, jusqu'à 1945, et ensuite.
C'est quand même lui qui a lancé l'expression "rideau de fer".
Si ses avis stratégiques avaient prévalu, les armées alliées seraient encore bloquées, dans les Alpes et les Balkans. |