... ou la culture à la portée de toutes les bourses!
Chez nous, les invendus sont probablement distribués aux oeuvres de bienfaisance qui les vendent au poids... des mots. Tandis que chez vous, c'est le pilon! Pour vous en convaincre, je vous renvoie à la
"Brève" de René du 18 janvier dernier :
Titre: "Le broyeur aux invendus" qui mentionne deux liens à consulter d'urgence :
"On achève bien les bouquins" - "Voyage au bout du pilon".
A pleurer! Tiens! Dégoûté, je m'en retourne dans mes caves humides tenir compagnie aux rescapés des massacres.
Bien cordialement,
Francis.