En 1949, il sera condamné par le tribunal militaire de Paris à 20 ans de détention et remis en liberté en 1954.
Tout ce que j'ai trouvé dans la 2eme édition du Duquesne (p.256), consulté à ma bibliothèque municipale (ouverte le vendredi de 15h à 18h), dans le chapitre consacré aux remous consécutifs à l'affaire Saliège est une mise en résidence surveillée, pour « pro-sémitisme » d'un certain abbé d'Aussac, directeur au grand Séminaire de Montpellier.
Remarque: Hilberg se réfère à des sources allemandes (Abetz), lorqu'il évoque l'arrestation de prêtres, ce qui incline à penser qu'il y a pu avoir d'autres mises en résidence surveillée ou convocation au tribunal, transformées au gré des rapports en « arrestations ».
Emmanuel
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