le Glossaire de Francis a trouvé : France Libre - France libre |
- | Mouvement politique et militaire, créé en juin 1940 par le Général Charles de Gaulle. Déniant toute légitimité au Maréchal Pétain, elle s'opposera militairement à ses forces pour obtenir le ralliement partiel de "l'Empire". En 41 et 42 elle fut la seule force militaire française présente sur les champs de bataille aux cotés des Britanniques . Ensuite son autorité fut acceptée par les mouvements de résistance intérieurs puis, par les autres forces françaises présentes à l'extérieur du territoire. En 1944 la France Libre rétablira la république tout en participant à la victoire contre les nazis.
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Gaulle (Charles de) - CDG - France libre |
- | A hissé le grade de Connétable bien au dessus de celui de Maréchal, fut il de France. Le site officiel
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Dans ce texte : Sources ? de françois delpla le dimanche 18 novembre 2007 à 08h50***L'appropriation partisane de cette manifestation restera, pour longtemps encore, un beau sujet polémique. Enfonçons encore le clou en rappelant que l'initiative - le choix du jour (11 novembre) et le choix du lieu (L'Etoile) - émane de la France Libre à Londres.***
Je crois, Francis, qu'il serait temps que tu cites tes sources.
D'après les miennes, de Gaulle est absent d'Angleterre du 31 août au 17 novembre, et fort démuni à cette époque de moyens d'action en métropole, cependant que les bureaux de la France libre à Londres sont surtout le théâtre de querelles internes. Dans les Mémoires de guerre, la brève mention de la manif du 11/11 montre qu'elle a été avant tout une heureuse surprise : "L'entrevue de Monoire avait été sévèrement jugée. La manifestation des étudiants de Paris, se portant en cortège derrière "deux gaules", le 11 novembre, à l'Arc de Triomphe, et dispersée par la Wehmacht à coups de fusil et de mitrailleuse, donnait une note émouvante et réconfortante. Le renvoi momentané de Laval apparaissait comme une velléité officielle de redressement." (édition Pléiade, p. 135) *** / *** |