Ils doivent donc être traités comme prisonniers de guerre au sens des conventions internationales régissant le droit de la guerre.
Le fait qu'ils aient une autre nationalité, ou qu'ils appartiennent à une armée devaient être jugés par les Alliés comme devant être criminels (ou au moins participant à une "association de criminels ou de malfaiteurs"), ne leur enlevait en rien la protection accordée à tout prisonnier de guerre (d'ailleurs cela fait toujours débat aujourd'hui, cf. Guantanamo).
je n'ai pas le texte en tête, mais à ma connaissance il ne prévoit aucune exception (c'est à dire aucun cas faisant perdre par nature le statut et la protection attachée aux prisonniers de guerre).
maintenant, la réalité est bien plus complexe.
En ce qui me concerne, pour ne pas rentrer dans un débat sans fin, je préfère une citation du film "Apocalypse Now" : poursuivre un soldat durant une guerre pour meurtre, c'est comme poursuivre un pilote des 24h du mans pour excès de vitesse..." (la version anglais parle je crois d4indianapolis).
Bonen soirée et bonnes réflexions,
CM*** / ***
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