Bonjour,
Une réflexion de Keynes qui ne fera probablement pas sourire nos amis français: Lorsqu'on causait avec des Français qui n'étaient nullement touchés par des considération politiques..., on pouvait les persuader que certaines évaluations courantes de ce que l'on obtiendrait de l'Allemagne étaient extravagantes; et cependant, à la fin, ils revenaient toujours au point d'où ils étaient partis: "L'Allemagne doit payer; car, sans cela, que deviendra la France?" On connaît mieux la phrase que Klotz, ministre français des Finances, ne cessait de répéter: "L'Allemagne paiera".Bien cordialement,
Francis. |