Le texte nourrit encore le débat sur la collaboration entamé précédemment ici même. J'ajouterai une réflexion supplémentaire d'Abetz pour lequel Darlan "n’aurait pas été en contradiction avec lui-même s'il s’était placé de propos délibéré en novembre 1942 du côté des Alliés", écrira l'ambassadeur dans l'après-guerre (cf. Darlan..., p. 294).