Jacques Gelin a promis de modifier sa préface... et Jacques Ghémard défend Daniel Cordier (le sycophante le plus sournois et le plus dangereux, largement responsable de l'écho qu'a reçu le livre-torchon de Gérard Chauvy en 1997) en abandonnant toute argumentation et avec une foi de charbonnier digne d'un Michel Boisbouvier encensant un Philippe Pétain.
PS.- Il en a déjà été question, mais je le rappelle ici : Cordier était obsédé dès avant la "table ronde" par la visite de la Gestapo au domicile des Aubrac après l'évasion, que dans son livre récent il affirme avoir apprise pendant la table ronde. Preuve en ligne : son interview par Olivier Wieviorka en avril 1997