"Ainsi il ressort du livre Où la mémoire s'attarde que l'épuration marseillaise n'eut rien de pire qu'ailleurs."

Pour n'en citer que deux :

- Philippe Bourdrel dans son livre "L'épuration sauvage" consacre un chapitre entier, soit plus de 80 pages, souvent insoutenables, à l'épuration sauvage à Marseille.

- Le général de Gaulle lors de son voyage officiel à Marseille, n'écrit-il pas dans Mémoires de guerre (tome III) :

"Il flottait sur Marseille un air de tension et presque d'oppression... Les communistes avaient établi à Marseille une dictature anonyme..."

L'escroquerie de Gastounet... Un bien gros mot pour qualifier la "saisie" du journal par G. Defferre qui, retour du bâton, ne faisait qu'appliquer à son tour les consignes données par le journal à ses lecteurs.

Bien cordialement,
Francis.