Cordier parle de choses fondamentales, son action dans la France libre et son oeuvre d'historien, il ne parle pas des peccadilles.
hélas je crains qu'il ait précisément cela en tête. Et c'est tout sauf une peccadille.
D'autre part, ta façon de le dédouaner me rappelle furieusement l'anecdote de Raymond Aubrac sur Gaston Defferre. Cet autre excellent camarade de Résistance avait été pour beaucoup dans son limogeage de Marseille début 45. Quelque quarante ans plus tard il traverse une foule pour venir le saluer chaleureusement. "Je compris alors, raconte Raymond, qu'il m'avait pardonné le mal qu'il m'avait fait."
Mais Cordier n'a pas l'air de pardonner. |