C'est-à-dire alias Caracalla, 2009, il était sans doute imprégné d'antisémitisme. Il parle de la culpabilité de Dreyfus qui était pour lui une évidence, pas un objet de débat. Je ne sais pas s'il a convaincu qui que ce soit, mais la police de Vichy qui n'était autre que la police de Daladier n'était pas particulièrement antisémite, tout au moins si j'en crois mes bons auteurs.
A Londres, l'antisémitisme de Cordier est vite ébréché par la fréquentation de camarades venant de tous les horizons, notamment Raymond Aron qui n'était guère traumatisé, si l'on en croit ses mémoires de 1983, par l'antisémitisme français que nous raconte le Cordier de 2013. |