Je n'ai notoirement jamais admiré dans aucun domaine certains gouvernants récents de France ou des Etats-Unis, mais quand j'en avais assez d'écrire leur nom, pour changer un peu, j'utilisais celui de leur capitale avec le suffixe -ien et non -iste.
Exemples : le point de vue parisien, depuis 2008, a rarement été à la hauteur des enjeux dans la crise de l'euro; l'attitude washingtonienne a, de façon entièrement prévisible, entraîné la démolition de l'Irak sous couvert de le reconstruire.
Je ne suis pas toujours averti de ce qui se chuchote dans mon dos mais en face n'ai encore jamais été confronté aux récriminations, de ce chef, d'un Washingtonien ni d'un Parisien. |