1) J'ai déjà posté de très nombreux messages sur la connaissance que pouvait avoir Vichy du sort des déportés, citations à l'appui (dont un célèbre extrait du Journal d'Anne Frank datant de l'année 1942). Il existe ce qu'on appelle un logiciel de recherche qui permet de retrouver mes différents articles. Se réfugier dans les travaux intéressants mais discutables de Florent Brayard ne saurait constituer un commencement de contre-démonstration à l'encontre de ce que j'écrivais, à moins de considérer que Goebbels ait été moins bien informé qu'Anne Frank ou un de nos flics des R.G. en déplacement à Berlin avant les rafles. Ce paradoxe n'est en fait qu'apparent, et le résoudre apparaît certes un poil compliqué, mais point infaisable.

2) Je trouve particulièrement déplacé d'exciper de la qualité (ou plutôt prétendue telle) de petit-fils de déporté pour aligner les injures à l'encontre d'autres intervenants, ou pire encore les âneries historiques les plus carabinées (cf. les déclarations de l'anonyme "JARDIN DAVID" tendant à réhabiliter Pucheu... et à accabler certaines "catégories") sans parler de la mention de la qualité de rabbin d'un écrivain ayant commis un livre raté sur Vichy.