Eh bien elle est simple, dans le chapitre sur la dépêche d'Ems, l'historien a commencé ce chapitre en rappelant l'importance de l'assassinat de François-Ferdinand et de son épouse à Sarajevo en 1914, cela sur une dizaine de lignes, puis il est passé sur l'affaire de la dépêche d'Ems.
La journaliste a donc lu cette dizaine de lignes et en a tiré son interprétation sans lire le reste.
ça paraît gros mais c'est ainsi. Au fond ça m'arrange ce genre de démonstration clairement établie, cela démontre en effet que les journalistes en Suisse n'ont jamais établi un code de conduite en ce qui concerne la diffusion de l'histoire: n'importe qui écrit n'importe quoi ou annonce n'importe quoi. Il en a été ainsi avec les prétendus passages de convois de déportés à travers la Suisse et la totale impossibilité de demander aux journalistes suisses de rendre public les rapports démentant le mensonge. Je rappelle que l’un d’eux m’a traité de négationniste à ce sujet.
En plus on serait en droit d'attendre d'un journaliste présentant un livre en histoire, d'avoir un minimum de connaissances afin d'éviter de publier des sornettes qui ne pourront que lui nuire et en cela on peut s'interroger également sur le travail des enseignants suisses en histoire étant admis qu’un journaliste a étudié l’histoire.
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