Sa faute en l'occurrence, comme toujours depuis l'armistice, est de se croire plus malin que Hitler alors que c'est l'inverse, abyssalement.
Quant à Pétain, c'est plus complexe. Il croit à la victoire allemande et la souhaite en juin-juillet-août, après il cherche à tirer quelques dividendes des (apparentes) difficultés nazies dans le ciel anglais, puis vers le 9 novembre il entreprend une politique de balancier... un peu tard car désormais le mot de "collaboration" est inscrit, indélébile, au front de sa politique.