C'était d'ailleurs l'un des partis pris des auteurs de "Liquider les traîtres" de se fonder avant tout sur les archives, en l'espèce celle de la préfecture de police de Paris (pour l'essentiel), plutôt que sur les témoignages.
Les mêmes déploraient d'ailleurs que l'histoire de la Résistance ait été écrite d'après les récits des acteurs des événements de l'époque et que les archives aient été négligées.