on n'en mourut guère."
Effectivement, "on en mourut guère",
Vous n'êtes pas obligé de corriger à tort ma syntaxe,entre guillemets qui plus est ! !
Quant à moi, si j'ai employé d'autres mots que les vôtres, je n'ai pas pour autant déformé vos propos. Il s'appliquaient bien, au départ, à la vie en France en général, présumée sous influence communiste, avant que ma demande répétée de précisions vous amenât à les faire rentrer dans le lit de la vie culturelle (ce sur quoi je vous ai répondu).
Je n'ai pas l'impression que les exécutions de la Libération, dont je ne dis pas qu'elles furent équitables, se soient appliquées à des écrivains pour leurs idées, mais bien pour des appels au meurtre dans des articles de journaux, articles suivis d'effet, notamment dans le cas de Brasillach, de Chack et de quelques autres. |