Leni Riefenstahl : art et nazisme - Les tentatrices du diable - forum "Livres de guerre"
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Edition du 06 mai 2008 à 11h06

Les tentatrices du diable / François Delpla

 

Leni Riefenstahl : art et nazisme de René CLAUDE le mardi 06 mai 2008 à 11h05

La cinéaste préférée d'Hitler n'a pas fini de susciter des débats et des essais critiques qui cherchent à éclairer la part d'ombre de la réalisatrice pour essayer de mieux comprendre, à travers la carrière de l'ancienne danseuse devenue cinéaste officielle du IIIe Reich, les liens entre des créateurs de grand talent - et Leni Riefenstahl en fait indéniablement partie - et les régimes totalitaires au XXe siècle.
Actes Sud publient la bio de Steven Bach Leni Riefenstahl. Une ambition allemande
(trad. par Manual Tricoteaux)

Extrait de la présentation :
Si les films phares de Leni Riefenstahl, Le Triomphe de la volonté et Les Dieux du stade, sont deux des plus grands documentaires jamais réalisés, ce sont aussi d’insidieuses glorifications d’Adolf Hitler, du IIIe Reich et de l’idéologie nazie. Pourtant, toute sa vie, la cinéaste a prétendu ne s’intéresser qu’à la beauté et à l’art. Dans cette magistrale biographie, Steven Bach fait toute la lumière sur le destin de cette artiste parmi les plus controversées du siècle écoulé. (...) Remarquée et admirée par Hitler, elle accepte la commande d’un documentaire sur le congrès annuel du parti national-socialiste : ce sera Le Triomphe de la volonté (1934), film majeur mais aussi produit le plus remarquable de la propagande nazie, celui, sans doute, qui a le plus contribué au culte du Führer. Financée par les fonds personnels d’Hitler, elle tourne ensuite en 1936 Les Dieux du stade, qui retracent les Jeux olympiques de Berlin, où elle donne la pleine mesure de son esthétique et de sa maîtrise cinématographique. Compromise avec le régime et son leader, elle subit après la guerre plusieurs procès de dénazification, dont elle sort libre. Pourtant, jusqu’à la fin de sa vie, à plus de cent ans, en 2003, les mêmes accusations ne cesseront de ressurgir… Aujourd’hui, s’appuyant sur des sources inédites, Steven Bach livre une enquête historique implacable. Il met au jour les paradoxes, les dissimulations et les mensonges d’une femme qui se disait apolitique et niait toute complicité avec le régime criminel dont elle profita et qu’elle sanctifia, alors même qu’elle refusait de renier l’admiration qu’elle éprouvait pour Hitler. Au fil des pages se dessine le passionnant portrait d’une immense cinéaste, dont un historien écrit que les films évoquaient “le regard désincarné et omniprésent de Dieu”, mais aussi d’une artiste corrompue par une ambition sans mesure.
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RC

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