Sans aller jusqu'à dire que les sommes dérobées à ses victimes sont allées à des protecteurs déterminés, il est à noter que lors de son arrestation, il était dûment muni de papiers, qu'il devait à la protection du parti communiste, et qu'il s'apprêtait, en uniforme de capitaine, à rejoindre l'armée française dans les Vosges.
La question demeure: le PCF, parti des fusillés, a-t-il couvert les activités d'un serial killer antijuif?