Cette tentation a l'egard de l'eglise (pas a l'egard du nazisme ou de ses sbires) existe bien chez moi en raison de ce qui me parait une exces d'attaques souvent justes mais souvent trop partiales que je lis ici et la.
Je ne cherche ni a condamner ni a excuser, juste a savoir un peu plus sur la base de faits etablis (et je suis d'accord avec vous que la charge de la preuve est souvent lourde). J'ai l'impossibilite d'accepter que le balancier soit autorise a osciller de l'anti-semitisme a l'anti-christianisme : ce serait quelque part accepter la validite ces deux poles, meme si j'ai bien conscience que l'equilibre compte tenu de la gravite (desole en Francais on dit densite) ne se trouve en aucune facon au milieu mais hors de ces alternatives qui, sans nier l'histoire, me paraissent mener nul part.