Décidément il est bien difficile pour un étranger de décrire certaines périodes de notre Histoire ! Etudiées de l’extérieur, sans cette connaissance instinctive qu’en a un autochtone, elles apparaissent souvent déformées. R. Raymond l’avait déjà montré dans « Le Monde » à propos d’un livre de Shirer sur notre IIIe République. Aujourd’hui, un jeune universitaire américain, Robert O. Paxton, professeur de l’Université de Columbia, nous le prouve une nouvelle fois. Il semble épouser les querelles du siècle, au lieu de s’en dégager. Sa démarche n’est-elle pas le contraire de celle de l’historien soumis non à des passions mais à des règles scientifiques ?
De la contradiction.
Sans autre commentaire.
(Ai copié-collé en gras les deux expressions édifiantes.)
RC |