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Roger Wybot et la bataille pour la DST - Philippe Bernert - Roger Wybot
La description du sujet




Remarque :

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Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement

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le Glossaire de Francis a trouvé :


Direction de la Surveillance du Territoire - DST - France
-

Son histoire, son organisation, ses missions... sur le site officiel du Ministère de l'Intérieur :
DST


France Libre - France libre
-

Mouvement politique et militaire, créé en juin 1940 par le Général Charles de Gaulle. Déniant toute légitimité au Maréchal Pétain, elle s'opposera militairement à ses forces pour obtenir le ralliement partiel de "l'Empire". En 41 et 42 elle fut la seule force militaire française présente sur les champs de bataille aux cotés des Britanniques . Ensuite son autorité fut acceptée par les mouvements de résistance intérieurs puis, par les autres forces françaises présentes à l'extérieur du territoire. En 1944 la France Libre rétablira la république tout en participant à la victoire contre les nazis.


Gaulle (Charles de) - CDG - France libre
-

A hissé le grade de Connétable bien au dessus de celui de Maréchal, fut il de France.
Le site officiel


Gehlen (Reinhard) - Allemagne
-

Richard Gehlen est né en 1902. Durant les premières années de la République de Weimar, il s'engage dans la Reichswehr où il gravit les échelons sans problème. En pleine guerre (1942), il est nommé commandant des Fremde Heer Ost chargés de récolter et d'analyser les renseignements sur l'URSS pour le front de l'Est. Cette fonction lui permet d'exprimer un anticommunisme viscéral. Au printemps 1945, Gehlen propose à Walter Schellenberg la création de maquis en Pologne pour résister à l'avancée soviétique. En vain. Convoqué par Hitler, il lui fait un exposé de la situation du Reich sans fard. Le Führer n'apprécie pas la présentation de Gehlen. Il est révoqué le 9 avril 1945 et se retrouve au chômage technique dans la Führerreserve de l'OKH. Il profite des dernièrs passages vers le Sud de l'Allemagne pour y mettre en sûreté les archives des FHO. En juin 1945, il rencontre l'agent John Boker, capitaine des renseignements de l'US Air Force chargé des interrogatoires de prisonniers auquel il propose ses services, ses réseaux et son anticommunisme. Après une série de péripéties, l'armée confie le colis Gehlen au général Sibert qui l'installe en Allemagne dans la "Maison bleue" futur siège de son organisation qui recrute et recycle un tiers de ses agents parmi des anciens du SD et de la Waffen SS. Les Américains ne bougent pas. En juillet 1949, la CIA contrôle officiellement les réseaux Gehlen sous le nom de code Zipper.
L'année suivante, le gouvernement de la zone ouest d'occupation alliée est autorisé à monter un service de contre-espionnage. Le chancelier Andenauer propose que Reinhard Gehlen prenne la direction du futur BfV, une candidature qui soulève un tollé chez les Alliés. Mais le durcissement de la guerre froide va permettre à Gehlen d'être propulsé à la tête des services ouest-allemand qui deviennent le Bundesnachrichtendienst (BND) le 20 février 1956.


Passy (Colonel) - France libre
-

Pseudonyme d'André Dewavrin. Dès le début de la guerre, le colonel Passy met sur pied le SR (Service de Renseignements) de Forces Françaises Libres. Le SR deviendra rapidement le BCRAM (Bureau Central de Renseignements et d'Action Militaire) puis le BCRA (Bureau Central d'Action Militaire). En juin 1943, le colonel Passy prend la direction technique de la DGSS (Direction Générale des Services Spéciaux), résultat de la fusion du BCRA avec les Services Spéciaux du général Giraud. En février 1944, le colonel Passy rejoint le général Koenig et devient son chef d'Etat-major.
Compagnon de la Libération - Biographie


R - Résistance (France)
-

Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).

En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")


BCRA - Bureau Central de Renseignements et d'Action - France libre
-

Services secrets de la France libre à Londres, dirigé par le colonel Passy.

Dans ce texte :

Roger Wybot et la bataille pour la DST

Philippe Bernert - Roger Wybot

Présentation de l'éditeur :

Pour la première fois, le chef le plus prestigieux du contre-espionnage français se raconte.
Egal des Gehlen, des Allen Dulles, des Edgar Hoover, fondateur de la fameuse D.S.T. (Direction de la Surveillance du Territoire), l'une des polices secrètes les plus puissantes et les plus redoutées d'Europe, Roger Wybot, soixante deux ans, Compagnon de la Libération, personnage légendaire (de l'avis du Monde), " alliage infernal de Cagliostro et de Vidocq " (Paris-Match), " l'une des plus singulières et des plus romanesques figures de l'administration française " (Jours de France), confie au journaliste Philippe Bernert les chapitres les plus mouvementés de sa carrière.
A vingt-huit ans, Wybot inventait, à Londres, le célèbre B.C.R.A. du colonel Passy et dirigeait le contre-espionnage de la France Libre.
Trois ans plus tard, à la Libération, il créait, à Paris, la Direction de la Surveillance du Territoire (D.S.T.), cette police d'élite "pas comme les autres" chargée de traquer espions et traîtres, et qui fit parler d'elle récemment dans la ténébreuse histoire du Canard enchaîné.
Pendant quinze ans, Wybot mena sa D.S.T. "comme un régiment en campagne".
Nous le suivons à travers des scandales fracassants qui firent vaciller la IVème République: affaire Joanovici, affaire des généraux, affaire des fuites. Nous le retrouvons au coeur des complots du 13 mai. Israël lui doit son existence, et de Gaulle lui doit d'être revenu au pouvoir.
Qualifié d' "Inamovible" de la IVème République, il a vu défiler vingt-huit ministères, douze ministres de l'Intérieur, cinq directeurs de la Sûreté. Ainsi domine-t-il quinze ans d'histoire secrète de notre pays.
Impénétrable, secret, redouté, mais s'estimant enfin délié de l'obligation de réserve, Roger Wybot descend dans l'arène parce qu'il a, lui, des choses à dire.
Dans ces pages souvent passionnées et véhémentes passent les personnages illustres d'une époque fertile en tumultes: de Gaulle, Mendès France, Mitterrand, Edgar Faure, Jules Moch, Le Troquer, des généraux saisis par le scandale, des aventuriers tissant d'étranges toiles, des hommes de main et des hommes de paille, des aventuriers et des barbouzes. Un champ clos de !'Histoire enfiévré par la guerre des polices.
Jamais encore un ancien grand patron des services secrets n'était allé aussi loin sur la voie des révélations précises et incandescentes. Wybot appelle un chat un chat et ne perd pas son temps en circonlocutions.
Un document capital, des dossiers qui nous imposent une révision de notre histoire immédiate.


Cordialement
Laurent

 

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