le Glossaire de Francis a trouvé : Combat - Résistance (France) |
- | L'un des premiers mouvements de résistance en Zone Sud. Fondé par Henri Frenay. Le mouvement "Combat" est issu de la fusion du MLM (Mouvement de Libération Nationale)d'Henry Frenay et Bertie Albrecht avec le Mouvement des Démocrates Chrétiens "Libertés".
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France Libre - France libre |
- | Mouvement politique et militaire, créé en juin 1940 par le Général Charles de Gaulle. Déniant toute légitimité au Maréchal Pétain, elle s'opposera militairement à ses forces pour obtenir le ralliement partiel de "l'Empire". En 41 et 42 elle fut la seule force militaire française présente sur les champs de bataille aux cotés des Britanniques . Ensuite son autorité fut acceptée par les mouvements de résistance intérieurs puis, par les autres forces françaises présentes à l'extérieur du territoire. En 1944 la France Libre rétablira la république tout en participant à la victoire contre les nazis.
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Dans ce texte :Quand ronchonnait le tambour de guerreJean FaivetPrésentation de l'éditeur :
Un soldat de la 1ere Division Française Libre raconte.
Tout espoir perdu de pouvoir être un jour l’hôte privilégié de quelque avion ou sous-marin clandestin, l’auteur abandonna ses études de mathématiques supérieures, prit son bâton de pèlerin et quitta son petit pays de Grandvillars dans l’espoir de rejoindre la France Libre via la Suisse toute proche. Il dut rebrousser chemin, la neutralité helvétique s’opposant à tout départ de son territoire, hors un retour en France
Peu après, il se décida à courir le risque de gagner le grand large par l’Espagne, nanti d’une vague adresse pour Lyon…et d’un compagnon de fortune.
Après un passage des Pyrénées mouvementé, il eut à connaître les geôles espagnoles, notamment celles de Figueras et de Gérone. C’était l’époque où, des prisons franquistes, sortaient encore, au petit matin, des condamnés au peloton d’exécution. Puis, après un transit par le camp de concentration de Miranda, ce fut le départ pour l’Afrique sous l’égide de la Croix-Rouge
Arrivé sur le sol tunisien, il s’engagea au Bataillon d’Infanterie de Marine et du Pacifique qui relevait de la 1ere Division Française Libre.
C’est parmi ces combattants de la première heure que, lourd du fusil-mitrailleur dont on l’avait doté, il eut à combattre sur le sol italien, devant le Garigliano, la ligne Gustav, la ligne Hitler. Gravement blessé lors de l’attaque de San Giorgio, il est évacué par bateau-hôpital sur l’Afrique du Nord qu’il quittera après quelques mois de soins pour retrouver ses camarades de combat sur les hauteurs de Ronchamps et mener avec eux la bataille d’Alsace antre Marckolsheim et Strasbourg.
Bonne lecture
Laurent |