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Une histoire politique de l'armée - Jean Planchais
La description du sujet




Remarque :

Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules

Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement

§:c (

 

le Glossaire de Francis a trouvé :


Autour - Allemagne nazie
-

Lors de l'offensive des Ardennes en décembre 1944, deux missions de commandos furent planifiées et reçurent les noms de code "opération Autour" (Stösser) et "opération Griffon" (Greif).
L'opération Autour, confiée au lieutenant-colonel von der Heydte, était destinée à faire sauter des parachutistes sur les Hautes-Fagnes avec l'objectif de prendre le contrôle des ponts et carrefours sur les routes des Ardennes.


Combat - Résistance (France)
-

L'un des premiers mouvements de résistance en Zone Sud. Fondé par Henri Frenay. Le mouvement "Combat" est issu de la fusion du MLM (Mouvement de Libération Nationale)d'Henry Frenay et Bertie Albrecht avec le Mouvement des Démocrates Chrétiens "Libertés".


Decoux (Jean) - France
-

Jean Decoux est né a Bordeaux le 5 mai 1884.
Il est admis a l'école navale en 1907 à 17 ans. Il en sort en 1903, 19° sur 82. Il est un jeune aspirant de 2° classe.

Le 5 octobre 1904, il est aspirant de 1ère classe alors qu'il se trouve sur le croiseur Le Gatinat. En 1905, il embarque sur le croiseur Le Protet. Toujours très bien noté, il est enseigne de vaisseau le 5 octobre 1906 et se trouve sur le cuirassé Desaix en 1907. De 1909 à 1910 sur Le Patrie, la cannonière Surprise de 1911 à 1912 et le torpilleur d'escadre Hoche en 1913.

Lieutenant de vaisseau, le 5 octobre 1913, il commande alors le sous-marin Volta de 1914 à 1916. Il est au ministère de la marine entre 1917 et 1918 et est alors fait chevalier de la légion d'honneur, le 14 juillet 1917.Au commande de la cannonière Gracieuse de 1918 à 1919. Il rejoint ensuite l'école supérieure de la marine de 1919 à 1921. Il se trouve être capitaine de corvette a partir du 19 octobre 1920 puis il commande l'aviso Liévin de 1921 à 1922. Il est capitaine de frégate, le 24 avril 1923. Puis il épouse Suzanne Humbert le 19 mai 1923. Au service historique de la marine en 1923 puis à l'état-major en 1924. Il est aux commandes de l'aviso Cassiopée en 1925-1926 puis est officier de la légion d'honneur en 1926. Ministère de la marine, en 1927-28 ou on le retrouve adjoint du directeur du personnel militaire. Il devient capitaine de vaisseau en 1929. L'année suivante, il commande le croiseur Primauguet de 1930 à 1931. Etat-major de la marine des 1931, sous chef puis chef de la section d'étude des armements navales. Il est conférencier à l'école des sciences politiques en 1935 puis contre-amiral le 18 février 1935 et au ministère de la marine jusqu'en 1936 ou il est commandeur de la légion d'honneur, le 2 juillet. Il commande la 3° division de croiseurs en 1937-1938.

Il est nommé, le 19 janvier 1939, commandant en chef des forces navales en Extrême-Orient; il est vice amiral le 11 avril puis vice amiral d'escadre le 12 mai.Gouverneur général de l'Indochine, le 25 juin 1940, en remplacement du général Catroux. Il est grand officier de la légion d'honneur, le 1° juillet 1941.Haut commissaire de France dans le pacifique, le 19 décembre 1941. Le 6 janvier 1944, mort de son épouse dans un accident d'automobile. Elle est inhumée au couvent de filles de la charité de Saint-Vincent de Paul à Dalat ou elle se trouve toujours.

Le 9 mars 1945, c'est la fin de l'Indochine Française et placement en résidence jusqu'à son retour en métropole le 1° octobre 1945. Hospitalisé au Val de Grâce puis à Frênes, il est arrêté pour être traduit devant la haute-cour de justice. Le 3 mai 1946 par décret, il est révoqué sans pension. Il finit par obtenir le non lieu par décret le 3 mai 1949 avec effet le 6 juin 1949. Il sera réhabilité légalement le 4 novembre 1951 après parution au journal officiel. Il récupérera tous ses droits, titres, pensions ou décorations avec effets rétroactifs...

Il se remarie en octobre 1949, avec Marguerite Baehme mais elle décèdera en 1955. Tentative politique avec la création de l'Union des Nationaux et Indépendants Républicains (UNIR) de Jacques Isorni. Il meurt à Paris, le 20 octobre 1963. Ses obsèques ont lieu à la cathédrale Saint-Louis des Invalides en présences, entre autres, du Maréchal Juin et du général Weygand.

source: L'amiral Jean Decoux; le dernier gouverneur de l'Indochine de 1940 à 1945, Jacques Decoux; ALPE, 2009.
(Merci à Laurent Boussaton)


Dien Bien Phu - DBP - Indochine

France Libre - France libre
-

Mouvement politique et militaire, créé en juin 1940 par le Général Charles de Gaulle. Déniant toute légitimité au Maréchal Pétain, elle s'opposera militairement à ses forces pour obtenir le ralliement partiel de "l'Empire". En 41 et 42 elle fut la seule force militaire française présente sur les champs de bataille aux cotés des Britanniques . Ensuite son autorité fut acceptée par les mouvements de résistance intérieurs puis, par les autres forces françaises présentes à l'extérieur du territoire. En 1944 la France Libre rétablira la république tout en participant à la victoire contre les nazis.


Gaulle (Charles de) - CDG - France libre
-

A hissé le grade de Connétable bien au dessus de celui de Maréchal, fut il de France.
Le site officiel


Indochine
-

Nom donné à l'ensemble colonial français à la péninsule qui comprenait les trois ky (provinces) viêtnamiens: la Cochinchine (au sud), l'Annam (au centre) et le Tonkin (au nord) ainsi que le Cambodge et le Laos.

-

Le terme "Indochine" apparaît pour la premiere fois vers 1813 et regroupe le Tonkin, l'Annam, la Cochinchine, le Laos, le Cambodge.
Le terme s'écrit de trois façons: Indo Chine, Indo-chine ou Indochine. Le terme n'existe plus après le départ des Francais.


R - Résistance (France)
-

Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).

En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")


2e DB - Deuxième Division Blindée - France
-

Division mythique et pourtant bien réelle commandée par le général Leclerc. Symbole politique du renouveau et de la réunification de l'armée française. Elle n'est qu'une des 8 divisions françaises qui débarqueront en août 1944 et participèrent à la libération de la France avec les Alliés, mais elle les a un peu éclipsées. Elle est principalement connue pour la libération de Paris et Strasbourg qui furent pourtant ses combats les plus faciles.

La 2e DB fut divisée en 4 groupements tactiques (GT) désignés par l'initiale du nom de leur commandant.


CED - Communauté Européenne de Défense - Europe
-

Le traité instituant la Communauté européenne de défense fut signé à Paris le 27 mai 1952. Les Etats membres (France, Allemagne fédérale, Italie et les trois pays du Benelux) s'engageaient à mettre sur pied une armée européenne capable de s'interposer entre les deux super-puissances dont les rivalités risquaient d'entraîner le monde dans un nouveau conflit. Dans l'esprit de ses initiateurs, la CED représentait un pas considérable dans la construction d'une fédération européenne.
La CED ne verra pas le jour. Le 30 août 1954, la France refuse de ratifier les accords.
En savoir plus ! Les textes du traité :


DB - Division Blindée
-

Une DB se compose organiquement de trois Régiments de Chars moyens, d'un Régiment de reconnaissance, d'un Régiment d'Infanterie porté à trois Bataillons, d'un Régiment de Tanks-Destroyers, d'une Artillerie divisionnaire à trois groupes de 105 automoteurs, d'un Groupe d'Artillerie antiaérienne, d'un Bataillon du Génie et de Services.
La DB se subdivise en trois Combat Command (CC).
(Source: Maréchal de Lattre).

-

2e DB est mythique - Voir Deuxième DB.


FFI - Forces Françaises de l'Intérieur - Résistance (France)
-

Créées par ordonnance du CFLN (Comité français de libération nationale) le 1 février 1944, les FFI réunissent, en principe, l'ensemble des mouvements de la Résistance intérieure. Le 28 août, après la Libération, le général de Gaulle décide leur incorporation dans l'armée régulière et la dissolution de leurs état-majors


PC - Poste de Commandement
-

ndlr : il arrive que le lecteur distrait confonde PC et PC. Exemple: "Giraud quitte son PC" ne veut pas dire "quitte son Personal Computer", ni "quitte son Parti Communiste" mais tout bêtement "quitte son Poste de Commandement".


PC - Parti Communiste

Dans ce texte :

Une histoire politique de l'armée

Tome 2 - 1940-1967 - de De Gaulle à De Gaulle

Jean Planchais

C'est un livre qu'on emporterait volontiers en vacances tant il est alerte, souvent drôle, parfois féroce. C'est l'oeuvre d'un journaliste qui aligne tantôt une succession de chroniques narrant les heurs et malheurs de l'armée française, tantôt une galerie de portraits de ces soldats qui ont marqué de leur empreinte l'histoire militaire de la France.
Jean Planchais maîtrise parfaitement son sujet. Démobilisé en novembre 1945, il entre au journal "Le Monde" où il est affecté à la rubrique militaire et accrédité depuis lors au ministère de la Défense nationale et des Armées ainsi que plus tard à l'Etat-Major suprême des Forces alliées en Europe. C'est dire qu'il côtoya nombre de responsables des choses militaires de de Gaulle à de Gaulle... celui de 1940 à celui de 1968.

En 1940, la France et son armée touchent le fond de l'abîme.
Une armée est morte. Deux armées s'efforcent de vivre : l'une, héritière de la tradition, à travers les unités de l'armistice; l'autre, issue de la Résistance - de l'intérieur ou de l'extérieur. Entre ces deux tronçons du glaive, la soudure ne se réalisera jamais complètement. De Lattre l'eût-il accomplie, deux épreuves auraient à nouveau divisé l'ordre militaire français.
Fallait-il insérer les forces militaires de la France dans celles d'une communauté européenne ou maintenir leur indépendance pour préserver plus strictement celle du pays ? Fallait-il les ancrer au sol de l'Europe, ou les vouer à des "guerres révolutionnaires" pour "contenir" le com­munisme ou maintenir l'intégrité du territoire hérité des régimes précédents? Les méthodes de ce combat n'étaient pas conformes à l'éthique militaire traditionnelle, non plus que cette politique à tous les idéaux de la nation.
De Bir-Hakeim à Dien-Bien-Phu, de Cassino au "putsch des généraux", Jean Planchais, dont les chroniques du Monde se confondent depuis 20 ans avec la trame de cette histoire, conte ce long effort pour revivre, sur le thème noblement illusoire de "l'unité de l'armée".
De la Résistance à la bombe, "de de Gaulle à de Gaulle", c'est une histoire de soldats qui est celle de la France.

(4e de couverture).

A elle seule, la table des matières, longue de sept pages, mérite le détour. Elle incite à plonger dans le livre pour un bout de chemin avec la "légion de Gaulle", avec Giraud et l'armée d'Afrique, avec l'Armée B de De Lattre et la 2e DB de Leclerc....L'amalgame ou le mariage manqué.... La France libérée et la recherche d'une armée nationale... De Lattre, un Roi sans lendemain.... L'adieu au guerrier de Koufra... Tout s'achève à Dien Bien Phu.... L'Algérie....Des Berbères à l'atome....Le malaise des généraux...

TABLE DES MATIERES

I. LA "LÉGION DE GAULLE".

- Les forces françaises en Grande-Bretagne.
- Le coup de force du 3 juillet
- Réponse à la "légion de Gaulle".
- Les premiers noms de la France libre.
- Les militaires de carrière.
- L'affaire Muselier.
- Une crise "constitutionnelle"
- Une île dans une île.
- Conflit franco-français au Gabon.
- Guerre civile en Syrie.
- Les troupes du Levant.

II. GIRAUD ET L'ARMÉE MILITAIRE.

- Les deux défilés.
- La rencontre de Giraud et de Leclerc.
- F.F.L. et armée d'Afrique.
- Les "désertions"
- Recrutement et surenchère.
- Bouvet entre deux armées.
- Un gouvernement ou un état-major.
- La manie des putschs.
- Un complot giraudiste.
- Note sur la responsabilité des officiers généraux.
- Le cas du capitaine Carré.
- Les Corps expéditionnaire d'Italie.
- Revanches.
- "L'oncle" Juin.
- Des capitaines d'Italie aux colonels d'Alger
- L'armée d'Afrique et la résistance.

III. DE LATTRE ET LECLERC, ARMÉE B ET 2e DB.

- L'homme de personne.
- L'inattendu arrive.
- Leclerc et les "Vichyssois".
- Deux tempéraments
- M. Le Troquer et les militaires .
- La Marine en crise.
- Lemonnier et Barjot.

IV. L'AMALGAME, OU LE MARIAGE MANQUÉ.

- Jacobinisme et tradition.
- L'occasion perdue.
- Leclerc contre "le désordre".
- De Lattre débarque.
- Encore Larminat.
- Vers l'amalgame.
- Les FFI de la Première armée.
- Les bataillons de Janson de Sailly.
- Les "grandes compagnies".
- Les barricades et les tranchées.
- Une force désordonnée.
- Malaise chez les Africains.
- Trop d'uniformes, peu de combattants.
- Les "naphtalinés".
- La circulaire 1010.
- La responsabilité du pouvoir .
- Diviser pour régner.
- Le défilé du 2 avril.

V. DE L'ÉPURATION AU DÉGAGEMENT DES CADRES .

- Les fidèles de Juin
- Dialogue au procès Pétain .
- Un nouvel apport: les prisonniers de guerre.
- Les déportés.
- Départs chez les FFI.
- Un cas très particulier.
- 658 officiers "épurés".
- Sanctions contre les témoins à décharge.
- De Gaulle au secours des ex-soldats de Vichy.
- Un organisme monstrueux.
- Une démobilisation difficile.
- Le dégagement des cadres. .

VI. BATAILLE SUR LES CRÉDITS .

- Pas un centime sans nécessité.
- 40 % du revenu national.
- L'éternel dialogue.
- Bataille autour de l'amendement socialiste.
- Rafistolage.
- L'effectif de 1914.
- Sauver les meubles.
- Une armée économique.

VII. A LA RECHERCHE D'UNE "ARMÉE NATIONALE"..

- La France et la liberté.
- La "carte du parti".
- La campagne pour "l'armée nationale".
- Des socialistes.
- ...au M.R.P
- Le procès de Pétain.
- Un bulletin de vote accueilli sans enthousiasme.
- La circulaire du 13 mai 1948.
- Intervention du général Billotte
- Une formation technique.
- "L'armée créatrice".
- L'héritage des maquis alpins.
- Le "régiment de la soie".
- Un refuge : l'Allemagne.
- Les habitudes coloniales.
- Le thé chez la colonelle.

VIII. UN ROI SANS LENDEMAIN.

- "Il faut sentir".
- La technique et l'inspiration.
- Rommel et Mac Arthur.
- Le facteur humain.
- Un hobereau paternaliste.
- Le goût des intrigues compliquées.
- Un régime de douche écossaise.
- Camps légers.
- Saint-Cyr en Bretagne.
- Un demi-succès.
- L'utilisateur et le fournisseur.
- La disgrâce.

IX. ADIEU AU GUERRIER DE KOUFRA.

- Grandeur et prix de la viande.
- Le jour des militaires et le jour des civils.
- Le "plan bleu".
- Un gentilhomme.
- L'affaire Crété.
- Le rapport Montezer.
- Guillaudot inculpé.
- Larminat est relevé de ses fonctions.
- Le PC entre dans l'insurrection.
- Une "bonne à tout faire".
- Le rappel des disponibles.
- M. Cogniot et l'armée.
- La loi pour la défense de la République.
- "Contre le froid, la faim et la nuit".
- L'Algérie, déjà.
- Répression à Madagascar .
- Mort d'un héros.

X. LA SAISON DES ORGANIGRAMMES.

- Le tiers état militaire.
- Une situation confuse.
- La nomination des généraux.
- Des responsabilités diluées.
- "La défense nationale à l'internationale".
- La réorganisation des forces armées.
- Un réformateur: M. Teitgen.
- "Passation de pouvoirs... " .
- L'armée de métier.
- Une oraison funèbre.

XI. TROIS MARINS ET L'INDOCHINE : DECOUX, D'ARGENLIEU ET HENRI MARTIN.

- Un complexe de culpabilité nationale.
- Thierry d'Argenlieu, le "Carme naval".
- La France et la civilisation chrétienne.
- Prodromes de la guerre.
- Libérer l'Indochine.
- Salan à Tchoung-King.
- La carte de la négociation.
- Une camaraderie d'adversaires.
- Le massacre d'Haïphon.
- Les militaires sans l'amiral.
- Carpentier: quelque chose de bleu horizon.
- Le désastre de Cao-Bang .
- Calendrier.
- Coup de tonnerre en métropole.
- L' extrême-gauche et la croisade.
- Le second maître Henri Martin.
- Toulon en état de siège
- Trois juges sur sept.
- Procès à Brest.
- Graffiti.

XII. L'OTAN, ASSURANCE TOUS RISQUES.

- Un notaire pour conseil de famille.
- Le secret militaire.
- Mission en Indochine.
- Bagarre sur un autobus.
- Le débat sur la place publique.
- Le prestige de la "haute armée".
- Etre dans la course, ou jouer aux courses.
- La menace soviétique.
- M. Jules Moch au travail .
- M. Max Lejeune, un socialiste "militariste".
- "L'ère Pleven".
- La "cannibalisation".
- L'aide américaine.
- Le service de dix-huit mois.
- Divisions à 100 % et "divisions papier".
- Pas de véritable effort de Défense nationale.
- Une assurance nommée "Ike".
- Les fiches de Gruenther.
- Le conformisme atlantique.
- Qui commande l'armée française ?
- Juin partout.
- Stratégie française et Stratégie américaine

XIII. CONTRE LA CED, BEAUCOUP D'ÉTOILES ET UN BATON.

- Propagandes adverses.
- Les éclats du maréchal.
- "Bombe" à Constantine.
- Règlement de compte à l'Académie.
- "Ils ne m'ont pas regardé".
- Le match Juin-Lanief.
- Horions sous l'Arc de Triomphe.
- "A la place du gouvernement".

XIV. MAIS TOUT S'ACHÈVE A DIEN BIEN PHU.

- Premiers contacts.
- La mort de Bernard de Lattre.
- La croisade.
- La montée des enchères.
- Un mauvais service.
- Militariser la nation.
- Le général des subalternes.
- Les petits seigneurs de la guerre.
- Isolement et solidarité.
- Les avertissements
- Navarre, un homme de Juin.
- "Allez France".
- Le monde concentrationnaire viêt-minh.

XV. ALGÉRIE FRANÇAISE.

- L'armée d'Afrique est morte.
- Une réaction jacobine.
- La machine à mentir.
- La justice arrive après la bataille.

XVI. DES BERBÈRES A L'ATOME.

- Décrochage en Indochine.
- Décrochage au Maroc.
- Juin à Tunis.
- Deux ministres et la Défense nationale.
- La "Jeune armée" pense et écrit.
- L'atome devient militaire.

XVII. LE MALAISE DES GÉNÉRAUX.

- Des marteaux-pilons contre les mouches.
- Le général Guillaume s'en va.
- Le général Zeller devient journaliste.
- L'artillerie et la S. F. I. O.
- Un fusil à un coup.
- Le général Ely contre les réductions budgétaires.
- Rajeunir l'armée.

XVIII. LA TORTURE.

- Le poids de la répression.
- L'emploi systématique de la "magnéto".
- Directives officielles et instructions verbales.
- La bataille d'Alger.
- La sécurité militaire enquête.
- Le général de Bollardière s'en va.
- Une lettre à l'Express.
- La commission de sauvegarde.
- L'affaire Audin.
- Un dialogue de sourds.
- Raccourci par Suez.
- "Mousquetaire".
- Sur les traces de Saint-Louis.
- Encombrement en Méditerranée .
- Fin d'une croisade.

XIX. UNE VÉRITÉ DEVENUE FOLLE.

- Découverte de "la guerre de peuple".
- De Lyautey à Mao Tsé-toung.
- Le colonel Lacheroy et les hiérarchies parallèles.
- Le rôle idéologique de l'armée.
- Une affaire d'autodidactes.
- "Adaptations".
- "Une confrontation qui n'est pas si commune".
- Teilhard de Chardin avec nous.
- La cité catholique.
- Naissance d'une politique.
- "Le soldat ne doit pas être conditionné à l'obéissance".
- Des 5èmes bureaux difficiles à tuer.
- Des opérationnels à la botte.
- Trinquier, Godard, Argoud.
- Le tryptique.
- Une guerre révolutionnaire est une guerre nationale.
- L'intermède katangais.

XX. L'UNITÉ DE L'ARMÉE.

- Premiers complots.
- Le rôle du général Ely.
- Le 13 mai du colonel Trinquier.
- La "conscience de l'armée".
- De Gaulle veut rester libre.
- L'année Challe.
- L'autodétermination.
- Le "serment".
- Les barricades.
- L'erreur des "colonels".
- La tournée des "popotes".
- Dudule.
- La rupture.
- Un nouveau 13 mai est dans l'air.
- Un élément capital : le contingent.
- Les transistors.
- Une armée "cassée".
- La lettre de Juin à Salan.
- Que pensent les jeunes ?
- Contre le régime.
- Stabilité des thèmes.
- Morne devoir.

XXI. POUR UN CONCILE.

- La fin des notables.
- L'atome et le matériel.
- La part du sacré.
- Un tunnel.

 

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