le Glossaire de Francis a trouvé :| - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Seconde Guerre Mondiale - SGM |
| - | Les anglo-saxons écriront WW2 ou WWII pour World Ware Two. Bon à savoir pour une recherche utile sur le Web.
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CICR - Comité International de la Croix Rouge - Divers |
| - | Le site de l’institution : 
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Dans ce texte :L'Etoile jaune et la Croix-RougeLe comité international de la Croix-Rouge et l'Holocauste 1939-1945Marc-André CharguéraudSur la première page:
Aux milliers de délégués du CICR, pour leur courage et leur engagement admirable au service de la cause humanitaire, hier, aujourd'hui et demain
Présentation au dos du livre
Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) est fréquemment accusé de passivité à l'égard des victimes de l'Holocauste pendant la Seconde Guerre mondiale. Mais sait-on quel fut réellement son rôle dans ces circonstances? Avait-il à disposition les ressources humaines et l'attirail légal pour soulager les victimes? Les parties belligérantes du conflit ont-elles tout fait pour les lui fournir et les lui garantir?
Oui, le CICR aurait pu faire plus; non, il n'a pas agi avec irresponsabilité ou complaisance. Chaque fois qu'il l'a pu, il a déployé d'immenses efforts pour assister tous ceux auxquels on lui laissait accès. Dans son nouvel ouvrage, Marc-André Charguéraud énumère les entreprises d'assistance et de protection qui furent mises en place tout au long de cette guerre. Il révèle également les ambiguïtés en matière de droit humanitaire des pays luttant contre les nazis, seul fondement possible des interventions du CICR auprès des victimes du conflit. Il n'est pas dans l'intention de l'auteur de blanchir à tout prix la célèbre organisation humanitaire, mais de remettre les procureurs à leur place et d'informer chacune et chacun, grâce à une synthèse claire et précise des travaux d'historiens sur cette période, sur le débat des responsabilités dans la tragédie de l'Holocauste.
Marc-André Charguéraud est diplômé de sciences politiques (Paris) et titulaire d'un Master of Business Administration de Harvard. Durant la Seconde Guerre mondiale, il fut engagé volontaire dans la première armée française en 1944. Par la suite, il a dirigé etprésidé plusieurs entreprises et sociétés. Il est également l'auteur de Tous coupables? Les démocraties occidentales et les communautés religieuses face à la détresse juive, 1933-1940, paru en 1998 (Cerf/Labor et Fides).
Table des matières
1. Pas de protection pour les détenus des camps de concentration
- Une protection partielle qui vint trop tard: 1944-1945
- L'Occident se désintéresse de la protection des civils 1923-1939
- L'Allemagne s'oppose à la protection des civils: 1942-1944
- Argumentation juridiques
- Qui aurait-on pu sauver ?
2. Savoir, croire et pouvoir
- L'information circulait, mais...
- Eté 1941, le début de l'Holocauste
- 1942, l'année horrible, "inimaginable"
- La banalisation de l'atrocité
- Une tâche immense
3. Secourir les détenus des camps de concentration
- Sans protection et sans secours
- Pas d'opérations clandestines
- Sauvez-les sans nous !
- La quadrature du cercle
Les Alliés
Les Allemands
Le CICR entre le marteau et l'enclume
- Attendre qu'il soit trop tard
4. Protester ou menacer ?
- Faut-il protester ?
- Réciprocité
- Silences
5. Secours et sauvetages
- Hongrie
- Interventions
- 8 000 Juifs qui ne partirent pas
- Protection
- Sauvés ?
- 1945
Conclusion
Illustrations
Déclaration des Alliés du 17 décembre 1942
site Internet de Marc-André Charguéraud |
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