La description du sujet
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Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : Champion (Lucien) - Belgique |
- | Général Major e.r. des Chasseurs Ardennais. Auteur du livre "1940 - La Guerre du sanglier".
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Chasseurs ardennais - CA - Belgique |
- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Dans ce texte :1940 - La guerre du SanglierDes côteaux frontaliers aux rives de la LysLucien ChampionDans cet ouvrage, réédité à l’occasion du cinquantième anniversaire des événements de mai 1940, le général major e.r. Lucien Champion, président d’honneur de la Fraternelle des Chasseurs ardennais, tient particulièrement à empêcher l’oubli d’un temps où le sens civique de chacun se confondait avec l’honneur du citoyen et le devoir de sauvegarder la nation. La règle qu’il s’impose est de s’en tenir à la rigueur des faits, qui est une obligation pour tout esprit objectif. Il considère toutefois que ses commentaires d’ordre historique et, d’autre part, les perspectives européennes qu’il esquisse ne sont guère moins importants. Ceci sans préjudice du Mémorial des « Ardennais » qui constitue la dernière partie de son livre.
Tant il lui paraît certain que la référence au passé rencontre la mémoire de l’avenir.
Tous les Belges le savent ( ou devraient le savoir ) : dans le chant d’amour de Jacques Brel pour son « plat pays », qui est aussi le leur ( qu’ils soient nés dans les plaines du nord ou du sud de ce que l’on ose nommer une frontière linguistique ), ces « fils de novembre » (1918) qui revinrent en mai (1940), sont pour nous l’évocation la plus pathétique des deux tragédies guerrières qu’à connues la Belgique unie et indépendante. |
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