 La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Wehrmacht - Allemagne nazie |
- | L'armée allemande sous le IIIe Reich. Littéralement Wehrmacht signifie "puissance (ou force) défensive". L'armée allemande prend ce nom en 1935 à la place de "Reichswehr" (voir ce terme).
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Dans ce texte : Que savaient l'Abwehr de l'état général des armées françaises ? de René CLAUDE le jeudi 05 septembre 2002 à 23h40
Bonsoir Prosper,
OK et Merci !
... Mais je suis quand même intrigué par cette "hantise", de Hitler concernant les capacités hypothétiques de réaction de l'armée française... Même si contrairement à ce qu'ont longtemps affirmé les historiens, les Français n'étaient pas vraiment distancés matériellement par la Wehrmacht (nbr. quasi égal de divisions blindées mais mauvaise utilisation et coordination nulle ; une artillerie qui sut être meutrière quand elle était commandée par des officiers décidés; une aviation qui comptait de vrais "as"; etc.), von Rundstedt avait du se rendre compte qu'il passait assez facilement et que ses homologues français n'étaient pas capables, dans l'ensemble, de réactions et d'improvisations efficaces. Certaines troupes se sont débandées sans avoir combattu et il semble assez évident qu'une contre-offensive française était une illusion à ce moment-là, non ?
C'est assez troublant et cela pourrait donner à penser que Hitler avait une arrière-pensée politique et qu'il put tenter un "coup" en jouant sur la hantise légitime d'une rupture de ses routes de ravitaillement ?
Dans un docu diffusé sur Arte, le commentaire disait qu'Hitler craignait surtout que l'intendance ne puisse suivre la vitesse de progression des panzers et que c'est ce qui peut expliquer l'ordre d'arrêt. Qu'en est-il ?
Amicalement,
René *** / *** |
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