La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé :| - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Dans ce texte : Donc... de Etienne Lorenceau le mercredi 21 janvier 2015 à 20h10
cher Jean François, si l'on réunit vos deux posts
"[Il existe] une variété de fascisme, des plus radicales et des plus racistes... quelqu'un qui se range sous la coupe d'Adolf Hitler afin de réaliser tel ou tel objectif. Par exemple : la grandeur de l'Allemagne ou l'éradication du communisme."
et
"Le point de vue Churchillien consiste à établir une hiérarchisation constante (sur une certaine durée) et ferme des ennemis"
on pourrait en inférer logiquement mais à tort que vous considérez Churchill comme pro nazi. Ce serait bien sur vous faire un mauvais procès qui ne ferait pas avancer la réflexion.
Mais votre exemple est malgré tout porteur d'enseignement. Les responsables politiques et militaires furent souvent contraint de s'asseoir sur leur conviction personnelle pour servir leur pouvoir tel qu'il leur était confié. Donc le Général Guisan et le Brigadier Masson auraient pu avoir des sympathie pour l'Allemagne nazie mais ne pas pouvoir en faire état ouvertement. C'est précisément sur le ressenti sous l'apparence que nos perception ou nos analyses divergent avec Monsieur Christian Favre et Monsieur Christian Rossé et le débat n'est pas totalement futile et simple jeu intellectuel, nous serons amené à y revenir.
Mais tout d'abord, puisque les deux honorables historiens cités ont accepté le principe de voire en premier lieu les faits sur lesquels nous sommes d'accord, je suis évidement soumis à la même règle.
Donc je dis à monsieur Rossé que les chiffres d'effectifs que je cite proviennent principalement de Pierre Th Braunschweig dans son livre Geheimer Draht nach Berlin et que les chiffres de monsieur Rossé semblent plus précis et mieux "sourcés" même s'ils révèlent le même phénomène de construction progressive et difficile du service secret suisse. Donc retenons que nous sommes d'accord sur les chiffres de Braunschweig tels que corrigés par monsieur Rossé.
Par ailleurs je souhaite aussi confirmer à Monsieur Christian Favre que ma perception après étude est similaire à la sienne sur l'opinion de la population suisse et le fait que la Suisse alémanique était, de façon peut être surprenante, encore plus anti nazi que les cantons francophones.
C'est selon moi d'ailleurs la raison pour laquelle les sympathies du Général Guisan ont évolué tout en se rapprochant progressivement de celles affiché à la population suisse qui l'avait élu; et c'eest selon moi la raison pour laquelle le Brigadier Roger Masson a menti sur toute la ligne
J'accepte bien sûr de revenir avec monsieur Favre sur les questions des rapports de certains réseaux de la resistance française avec le Brigadier Masson.
Je souhaiterai pouvoir poser à mes deux interlocuteurs quelques questions factuelles à laquelle je ne doute pas qu'il répondront de bonne foi et avec la précision qui caractérise leur sérieux.
Le 23 aout 1941, dans une lettre au chef du General Staff Huber, le Général Guisan a annoncé qu'il prenait comme officier de renseignement personnel non officiel Monsieur Paul Meyer-Schwertenbach (qui devint d'ailleurs en 1943 le chef de la branche Zürchoise des services secrets). Or ce même Paul Meyer-Schwertenbach est celui qui entretenait des relations étroites avec Eggen, celui qui invitait le Général Guisan et son épouse à des soirées privées où il y avait surtout des allemands et/ou pro nazis. C'est également lui qui organisa la rencontre avec schellenberg. Or ce que nous savons du traitement indépendant de Eggen, nous ne le savons que par les rapports d'interrogations de... Paul Meyer-Schwertenbach.
Et puis lorsque Paul Meyer-Schwertenbach organisa la rencontre avec walter schellenberg, j'apprend du llivre de de Pierre Th. Braunschweig que, ce que le Brigadieer Masson ne savait pas c'est que le général Guisan avait déjà rencontré schellenberg à deux reprises. Or dans mon éphéméride compilé sur 40 ans concernant schellenberg, je n'ai aucune relation de ces deux entrevues. Je vous saurais donc gré de me faire savoir si vous avez des informations précises sur ce sujet et m'indiquer les sources que je pourrais essayer de recouper.
En ce qui concerne Gustav Däniker (sujet secondaire) je ferai remarquer en réponse qu'il n'a été exclu que pour n'avoir pas gardé secrètes ses sympathies nazies parfaitement acceptable en interne dans les services et que, pour tout chatiment, il lui a été trouvé un emploi chez Oerliken-Bührle, un des principaux fournisseur statégique pour les nazis dans la Suisse neutre (ce "neutre" étant dit sans ironie). Donc il ne s'est pas fait "saquer" comme le post le concernant semble le suggérer, mais a été mis confortablement à l'abri.
Et je vous saurais également gré de regarder qui étaient le Knecht et le Eric Payot qui ont procédé à des arrestations dans le démentèlement des radios de l'Orchestre Rouge. Quels titres avaient ils à procéder aux dites arrestations?*** / *** |
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