le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Dans ce texte : Réponse courtoise de Alain Cerri le dimanche 27 juillet 2014 à 11h31Votre message ayant été publié juste après le mien, intitulé "Précisions", je me permets d'y répondre brièvement et courtoisement.
Tout d'abord, je vous remercie d'avoir pris connaissance de mon site sur les Glières et de juger que celui-ci "nous offre un certain nombre de précisions documentaires très intéressantes bien que peu valorisées". A ce propos, qu'entendez-vous par "peu valorisées" ? Peut-être pourriez-vous me faire des suggestions pour mettre ces informations en valeur.
Ensuite, je vous sais gré d'avoir remarqué que Claude Barbier n'avait pas mentionné mon site "avec toute la reconnaissance respectueuse attendue". En effet, il s'en est manifestement inspiré, puisque mon site, créé en 1996, a été développé au début des années 2000, et que nous avons correspondu avant la soutenance de sa thèse, Claude Barbier voulant surtout, à mon humble avis, s'assurer que je ne transformerais pas mon site en livre avant la publication du sien...
Pour ce qui est de la répétition de mes remarques, elle soulignait celle des éloges outranciers de Claude Barbier concernant le caractère novateur et impartial de son ouvrage. Vous déclarez encore : "Ecrire que BARBIER ne fait qu'enfoncer des portes ouvertes en s'attribuant la découverte d'une non-bataille est donc profondément malhonnête." Or, sans relever l'accusation, je suis derechef obligé de le répéter (!), Claude Barbier n'apprend absolument rien de nouveau en s'attaquant, en 2014, à une légende issue de la propagande de guerre en 1944 et déjà mise à mal par Dalotel en 1992, puis par moi-même à partir de 1996.
Quant à la conclusion de son livre, j'ai donné, dans mon précédent message, un exemple de son caractère réducteur sur la question de la "bataille des Glières". *** / *** |