La description du sujet
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Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : Combat - Résistance (France) |
- | L'un des premiers mouvements de résistance en Zone Sud. Fondé par Henri Frenay. Le mouvement "Combat" est issu de la fusion du MLM (Mouvement de Libération Nationale)d'Henry Frenay et Bertie Albrecht avec le Mouvement des Démocrates Chrétiens "Libertés".
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Seconde Guerre Mondiale - SGM |
- | Les anglo-saxons écriront WW2 ou WWII pour World Ware Two. Bon à savoir pour une recherche utile sur le Web.
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Dans ce texte : Hors-série n° 20 : Les as de la Panzerwaffe à Koursk - Récits et témoignages de Francis Deleu le samedi 13 octobre 2012 à 11h25Présentation de l'éditeur Si elle n’est pas la plus grande bataille de chars de la Seconde Guerre mondiale, comme l’ont longtemps clamé des historiens, l’opération « Zitadelle », lancée en juillet 1943 dans les plaines de Koursk, n’en demeure pas moins l’une des plus acharnées du conflit. Des milliers de soldats allemands et soviétiques ainsi que des centaines de chars se sont affrontés durant une semaine pour le gain d’une bataille que les deux camps savaient décisive sur le front de l’Est.
Au‑delà des considérations stratégiques, cet engagement s’avère aussi être une confrontation entre soldats, dont certains se distinguent par leur courage et leur habileté. Souvent considérée comme un révélateur de caractère, la guerre met en avant des hommes qui s’affirment comme des combattants exceptionnels. À bord de leur Panzer, des tankistes font preuve d’un sens tactique hors du commun qui leur permet de se sortir des situations les plus périlleuses tout en assurant un maximum de chance de survie à leurs camarades. Toucher une cible à plus de 2 000 mètres, débusquer avant qu’il n’entre en action un canon antichar camouflé, jauger la valeur de son adversaire en quelques secondes, se sacrifier pour briser une contre-attaque ennemie… des capacités qui donnent les moyens à ces hommes de survivre sur un champ de bataille, où la moindre erreur est souvent synonyme de mort. Ces Panzerschützen, comme Kurt Knispel, soldat irrévérencieux voire forte tête, ou encore Michael Wittmann, l’enfant chéri de la propagande nazie, partagent un sens inné du combat de chars, au point que ces as de la Panzerwaffe affichent des tableaux de chasse stupéfiants, multipliant les faits d’arme face aux T-34 et aux SU-152 dans les steppes et les balkas de Koursk. Franz Staudegger, Franz Bäke, Rudolf von Ribbentrop, Richard von Rosen, Hermann von Oppeln-Bronikowski sont de cette trempe‑là : des hommes hors du commun, dont les engagements sont narrés dans cehors-série Batailles & Blindés *** / *** |
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