La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Dans ce texte : Il y avait trois « Canons de Paris » à Crépy en Laonnois de Serge Desbois le samedi 18 août 2012 à 15h50Pour recharger un tel canon, il fallait au minimum 1/4 d’heure. Or dans la 1ère série de tirs à Crépy du 23 mars au 1er mai, plusieurs fois, les tirs sur Paris se sont succédés en moins d’un quart d’heure. Il y avait 2 canons et probablement 3
Par exemple le jour inaugural du 23 mars 1918 :
-Impacts 11 rue du Château-Landon( 11ème Arr.) à 8 h. 05 et 15 rue Charles V ( 15ème arr) à 8h 15
- 2 rue Legouvé ( 2ème Arr. ) à 9h40 et 4 rue Riquet ( 4ème Arr) à 9h 45
- ou encore 206 avenue Jean Jaurès à 11h 10 et à Pantin 59/65 rue de Paris à 11h 20 etc..
Nous l’avions appris après la reconquête du site puisque nous avions trouvé des rails entre d’une part les deux blockhaus (que nous avons photographiés récemment) et la plate-forme créditée de Plate-forme N° 1. Les rails se rendaient donc sur la plate-forme 2, voir 3 (photo suivante)
* Nous avion dit que l’Armée française avait 2 canons de 305 pour contrer à 20 km dans nos lignes, le « Pariser kanone ». En réalité il y en avait 4 ( réponse du groupe d’armée du Nord à Clemenceau qui demandait des explications sur le tir des Allemands)
Les 2 blockhaus que nous avions photographiés au Bois de l’épine non loin de l’excavation de la plate-forme N°1, était probablement le commandement de la batterie et non la réserve de projectiles car il y avait des fils électriques qui dépassait autrefois du blockhaus.( La commande des canons était électrique.)
Autre mise au point : Nous avons pu nous aventurer au « Bois de l’épine » car il n’y a plus d’interdiction. Naguère c’était un terrain militaire dépendant de la base de Laon où étaient gardées les munitions. ( Gardes, chiens policiers). Actuellement elle semble avoir été rendue à la vie civile ? *** / *** |
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