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Combat - Résistance (France) |
| - | L'un des premiers mouvements de résistance en Zone Sud. Fondé par Henri Frenay. Le mouvement "Combat" est issu de la fusion du MLM (Mouvement de Libération Nationale)d'Henry Frenay et Bertie Albrecht avec le Mouvement des Démocrates Chrétiens "Libertés".
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| - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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GQG - Grand Quartier Général - Divers |
| - | Groupement tactique temporaire.
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Dans ce texte : La guerre secrète et le Brise-Glace de MOSCA le mardi 24 janvier 2012 à 17h55
Bonjour,
Emission intéressante en effet, mais qui fait l'économie de quelques démonstrations sur des faits avérés:
Non, Staline n'était ni désireux, ni prêt à attaquer l'allemagne en été 1941.
Oui, il a rejeté le plan de l'attaque préventive monté par le GQG soviétique début 1941.
Oui, il a bel et bien reçu toute la quantité de renseignements voulue sur l'imminence d'une attaque allemande.
Non, il a choisi délibérément de ne pas y croire, tout simplement parce que celà ne faisant pas son affaire et ne s'accordait pas avec sa vision de l'avenir.
Non, l'armée rouge n'était prête pour aucun combat en juin 1941, le MOP-41 (plan de mobilisation opérationnelle de 1941) ne prévoyait aucune contre-offensive majeure avant le 23e (ou 27e) jour de mobilisation.
Contrairement à une polémique stérile ayant eu lieu sur le fil du Brise Glace entre deux opposants qui se reconnaitront, elle n'était positionnée ni en offensive, ni en défensive mais en casernement. Elle n'était pas mobilisée non plus et ne comtait que 1.8M de soldats à 150-200 km de la frontière sur les 5M de mobilisés à l'époque, dont 3.3M pour la partie europeéne de l'URSS. (chiffres approximatifs, de mémoire).
En face avec 3.9M d'hommes dont 3.3M d'allemands, on a réussi a créer une supériorité de 3,5:1 à 5:1 sur les axes décisifs.
Pour avoir été impressionnat, le résultat des premiers affrontements n'a jamais rien eu d'étonnant ni de miraculeux.
Reste à savoir pourquoi Staline n'a jamais déployé ses troupes sur le terrain en mode préventif...
Enfin, avant et surtout pardessus tout il est Brise -Bonbons d'entendre à longueur de phrases que Staline aidait l'allemagne à faire la guerre en 1939-40.
Faudrait-il pas oublier que cette aide était payante, ce qui n'en fait aucunement une aide, mais un échange commercial. Il fournissait de la matière première mais recevait des produits manufacturés de premier choix, dont de nombreux composés chimiques et des machines outils allant dans l'industrie de guerre, qui servaient à affiner le métal de ses T-34, à camoufler sa carcasse, rainurer son canon ZiS, polir et traiter son viseur TF, durcir ses obus, nitrurer ses colliers...Bon bref, tout ce qui allait contribuer son char à tuer si bien les Panzer quelques mois plus tard. *** / *** |
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