le Glossaire de Francis a trouvé :
Combat - Résistance (France) |
| - | L'un des premiers mouvements de résistance en Zone Sud. Fondé par Henri Frenay. Le mouvement "Combat" est issu de la fusion du MLM (Mouvement de Libération Nationale)d'Henry Frenay et Bertie Albrecht avec le Mouvement des Démocrates Chrétiens "Libertés".
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| - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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PS - Poste de secours - France |
| - | Poste de secours à ne pas confondre avec un parti politique.
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Dans ce texte : Parce que... de MOSCA le jeudi 15 décembre 2011 à 10h58
...la récupération du matériel pris à l'adversaire allait bon train partout et dans toutes les guerres. Au point de prendre une tournure industrielle comme la fabrication des automoteurs SU-76i par les soviétique sur base de panzers capturés
 ou des Marder allemands avec des canons russes de 76,2.
C'est encore plus vrai dans une "guerre de pauvres" comme en Espagne ou l'on récupère tout ce qu'on trouve, du meilleur comme du moins bon.
Les avions soviétiques que vous dites récupérés par les nationalistes sont en fait -pour des raisons évidentes- des appareils capturés ou fabriqués après la chute de la république, ou bien restitués par la France dans le cadre des accords Bernard-Jordana. (Ce n'est d'ailleurs pas ce qu'on a fait de mieux, il était préférable en fait d'utiliser les chasseurs Polikarpov et les bombardiers SB avec leurs pilotes espagnols en 39, mais bon...).
Pour les chars, il est certain que les T-26 et BT-5 étaient bien supérieurs à ce qu'on pouvait opposer en face en raison de leur canon de 45. Pour autant ce n'était pas la panacée, leur mince blindage, contrairement au Renault R-35 "made in France" ou au Mathilda anglais, n'était qu'à l'épreuve des balles de petit calibre, et en faisait une proie facile pour les 25, 37, 47mm antichars italiens et allemands. Et même était-ce trop; un vulgaire fusil antichar de 12,7 mm y suffisait amplement!
Par ailleurs le potentiel mécanique (espérance de vie) de ces engins était très faible et ne dépassait pas 150 heures avant démontage (et réfection) du moteur pour le T-26, pour un maximum de 3 reprises, après avis de la commission technique. C'est peu, mais toujours mieux que sur les BT ou le risque de panne était constant, y compris sur des engins neufs, au vu qu'ils utilisaient des moteurs d'avions usagés (M-5 ou M-17), ayant fait au préalable leur temps réglementaire dans l'aviation.
En fin de compte, même en ayant récupéré des chars républicains à l'aspect parfois flatteur de l'extérieur, les nationalistes ont surtout ramassé des épaves complètement rincées de l'intérieur...
Un bon lien
PS: C'est vrai que le Mosca était un avion supérieur, voire très supérieur aux premiers Me-109 à moteur Jumo, mais au niveau de la maniabilité seulement, les performances étant équivalentes. Mais c'était aussi selon William Labuissière un avion particulièrement instable et dangereux pour ses utilisateurs, et qui aurait connu en Espagne plus de pertes par accidents qu'au combat!
En fait il n'est réservé qu'à une petite élite de bons ou de très bons pilotes, ce qui limite son efficacité sur le terrain. *** / *** |
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