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1900 / 2000 : un siècle de guerre terrestre : analyse, documents et témoignages
 
 
 
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Ligne de Front - Y. Kadari, V. Bernard (et alii)
La description du sujet




Remarque :

Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules

Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement

§:c (

 

le Glossaire de Francis a trouvé :


Combat - Résistance (France)
-

L'un des premiers mouvements de résistance en Zone Sud. Fondé par Henri Frenay. Le mouvement "Combat" est issu de la fusion du MLM (Mouvement de Libération Nationale)d'Henry Frenay et Bertie Albrecht avec le Mouvement des Démocrates Chrétiens "Libertés".


Deutsches Afrika Korps - DAK - Allemagne nazie
-

Au départ la DAK, formée en février 1941 et commandée par Erwin Rommel pour soutenir les troupes de Mussolini, était le quartier général des divisions allemandes opérant en Afrique du Nord (Libye, Egypte et Tunisie). Par la suite, la DAK désignera l'ensemble du corps expéditionnaire allemand dans cette région.


R - Résistance (France)
-

Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).

En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")


Seconde Guerre Mondiale - SGM
-

Les anglo-saxons écriront WW2 ou WWII pour World Ware Two. Bon à savoir pour une recherche utile sur le Web.


Sir (Basil Lidell Hart) - Grande-Bretagne
-

Comme pour le Général Patton, je m'étonne de ne pas trouver mot sur ce grand écrivain, spécialiste des guerres mondiales.

Note : Le glossaire est en chantier permanent ! N'hésitez pas à participer et à déposer vos définitions ou courtes biographies.

FD


Wacht am Rhein - Allemagne nazie
-

Nom de code donné par les Allemands au projet d'offensive dans les Ardennes prévue pour décembre 1944. Ce nom de code "Wacht am Rhein" (Garde sur le Rhin) avait été choisi pour faire croire aux Alliés que la concentration de troupes dans le secteur des Ardennes n'avait d'autre but que de défendre les frontières du Reich.
L'opération "Wacht am Rhein" prit le nom d'opération "Herbsnebel" (*) (brouillard d'automne) dans sa phase offensive.
(*) voir ce terme.


Waffen SS - Allemagne nazie
-

Section de protection de l'armée. Unités combattantes de la SS (Voir SS).


Wehrmacht - Allemagne nazie
-

L'armée allemande sous le IIIe Reich. Littéralement Wehrmacht signifie "puissance (ou force) défensive". L'armée allemande prend ce nom en 1935 à la place de "Reichswehr" (voir ce terme).


SS - Schutzstaffel - Allemagne nazie
-

"Echelon de protection" ou "Section de protection".
Créée en 1923, la SS est d'abord la garde prétorienne de Hitler. Sous l'impulsion de Heinrich Himmler qui en prend la tête le 6 juin 1929, elle devient la police du Reich. A partir de 1937, la SS est chargée de la gestion du système concentrationnaire.
Himmler portera le titre de "Reichsfürher-SS".

A partir de 1935, la SS se subdivise en différentes branches notamment:
- SS Verfügungstruppe (troupes mises à disposition), organisées militairement et qui deviennent, au début de la guerre, les Waffen SS.
- SS Totenkopf (tête de mort) chargées de la garde des camps de concentration.


USA - United States of America - USA
-

Les Etats-Unis d'Amérique. Quelques auteurs francophiles irréductibles préfèrent utiliser EU (Etats-Unis) ou EUA (Etats-Unis d'Amérique).

Dans ce texte :

Ligne de Front n° 31 de Francis Deleu le jeudi 30 juin 2011 à 22h27

+ Terreur dans les Ardennes - Pourquoi ? Comment ?

Harcelés par la Résistance au moment de leur repli des Ardennes en septembre 1944, les grenadiers SS jurent qu’ils reviendront pour venger leurs morts ! Le 16 décembre suivant, l’offensive « Wacht am Rhein » leur donne l’occasion de mettre leur menace à exécution… Souvent évoquée, cette explication simpliste ne résiste pas à l’examen des faits : les assassinats sont en effet si nombreux pendant l’hiver 1944 qu’il faut bien émettre l’hypothèse de causes systémiques.
par Hugues Wenkin.
+ Le régiment « San Marco » au combat (1940-1943)
Héritier d’une longue lignée de troupes de marine remontant à 1713, le Reggimento Marina s’est distingué durant la Grande Guerre dans la défense de la place forte de Venise. La Sérénissime, reconnaissante, obtient par décret royal en 1919 que le régiment porte le nom de Saint-Marc, évangéliste et patron de la cité. Dès lors, le lion ailé ornera le col et le revers des manches de l’uniforme des recrues.
par David Zambon.
+ Les Küstenjäger - Les Marines du Reich.
En 1942, l’extension du théâtre des opérations à l’Est entraîne une multiplication des rivages à capturer ou à contrôler par la Wehrmacht. Inspiré par la création des Commandos britanniques, l’état-major allemand ordonne la formation d’une compagnie similaire. Très vite, elle sera amenée à intervenir en différents secteurs du front et deviendra un bataillon. C’est à ce moment que le surnom de Küstenjäger devient officiellement celui des soldats de cette nouvelle unité.
Par Pierre-Edouard Côte.
+ DOSSIER : Les mythes de la Seconde Guerre mondiale.

Avec 65 millions de morts (soit la population actuelle de la France), des combats s’étalant du cercle polaire norvégien à Madagascar et des îles Aléoutiennes à Saint-Pierre-et-Miquelon, un état de belligérance impliquant des géants tels que l’Union soviétique ou les États-Unis et des pays aussi modestes que le Luxembourg ou la Thaïlande, le plus grand conflit que l’humanité ait jamais connu ne pouvait que véhiculer de nombreux mythes. Forgés par la propagande, nés d’approximations journalistiques reprises à mauvais escient, inlassablement répandus à des fins de justifications politiques, les clichés abondent : Hitler guidé par la démence, lanciers polonais chargeant témérairement les Panzer sur leur monture, Armée française mise en déroute en mai-juin 1940, Waffen-SS armée d’élite, Moscou sauvée par les divisions sibériennes en décembre 1941, guerre propre en Afrique du Nord opposant Deutsches Afrika-Korps et 8th Army, Armée italienne médiocre, Stalingrad tournant de la Seconde Guerre mondiale, soldat japonais supérieur à ses ennemis dans la jungle, logistique de l’Armée américaine réglée comme une montre suisse… bon nombre de ces clichés perdurent encore, soixante-dix ans après les faits. Or, ces idées communément admises ont, pour beaucoup d’entre elles, altéré notre perception de l’Histoire, au point de s’imposer comme des évidences qui ne sauraient résister à une rigoureuse analyse des faits. À travers ce dossier, la rédaction de Ligne de Front se propose donc de revenir sur plusieurs mythes de la Seconde Guerre mondiale pour en démêler le vrai du faux.
- La Waffen-SS : armée d'élite ?
Magnifiée par la propagande nationalesocialiste durant ces six années de guerre, à peine édulcorée par une littérature nauséabonde des années 1970, l’image de la Waffen-SS est, encore aujourd’hui, très largement altérée par ces récits. En effet, soixante-dix ans après le conflit, les idées reçues perdurent à son sujet : unités d’élite entièrement mécanisées et suréquipées emportant tout sur leur passage dans les situations offensives, ou ne cédant pas un pouce de terrain en combat défensif, soldats de la division SS « Wiking » pouvant s’enorgueillir d’avoir les mains propres [à ce sujet se reporter à Batailles & Blindés n° 35], formation européenne au moral inébranlable unifiée dans son désir de faire barrage au communisme constituent autant de concepts tenus pour acquis. Au travers de plusieurs exemples, nous avons choisi de soulever quelques aspects méconnus des unités combattantes de l’Ordre noir qui tordent le cou au « mythe Waffen-SS ».
Par Yann Mahé.
- Les Sibériens sauveur de Moscou ?
Durant l’hiver 1941-42, il est communément admis que Moscou a été sauvée des griffes hitlériennes par les vaillantes et robustes divisions sibériennes de l’Armée rouge ; mais qu’en est-il réellement ?
Par Yann Galibois.
- Les Français se sont-ils battus en 1940 ?
« Neuf mois de belote, six semaines de course à pied », c’est sous cet aphorisme aussi cruel que percutant que l’écrivain Louis-Ferdinand Céline est parvenu à crucifier, en des termes indélébiles, la mémoire des combats menés en 1940, par ce qu’il qualifiait d’« Armée Ladoumègue », en référence aux exploits sportifs d’un célèbre coureur de demi-fond de l’époque.
Par Christophe Dutrône.
- Les U.S.A. et la guerre.
Entrés en guerre tardivement par rapport aux autres belligérants, les États-Unis d’Amérique ont rapidement rattrapés leur retard militaire ; sur le front de la propagande, les choses sont aussi allées très vite : il fallait en effet mobiliser le peuple américain pour l’effort de guerre et rassurer les Alliés. De cette stratégie de communication sont nés plusieurs mythes.
Par Guillaume Martinet.
- La Cavalerie polonaise charge les Panzer.
S’il est un peuple européen qui peut se targuer de posséder des cavaliers émérites, il s’agit bien des Polonais. De là à croire que les uhlans polonais ont chargé les Panzer d’Hitler à la lance en septembre 1939, il n’y a qu’un pas que certains franchissent encore allègrement au mépris de la plus élémentaire des réflexions : non, les Polonais ne sont pas suicidaires !
Par Yann Mahé.
+ Les premiers combats des SS de la « Nord » - La bataille de Salla - juillet 1941.
Pour conquérir le port stratégique de Mourmansk, les Allemands peuvent s’appuyer sur l’Armée finlandaise ivre de vengeance après la guerre d’hiver de 1939-40. Mais la région est vaste, difficile d’accès et particulièrement hostile. Pour emporter la décision au centre du dispositif soviétique, le XXXVIe corps d’armée allemand compte donc aussi sur la seule division SS du secteur : la « Nord ». L’un de ses membres nous livre sa vision de la terrible bataille de Salla.
Par Didier Laugier.

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