 La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Dans ce texte : Le conseiller Prince. Expertise. Contre-expertises. Enquêtes. de Serge Desbois le samedi 18 juin 2011 à 07h42
Cher Francis
Bien sûr que j’ai développé les expertises et contre-expertises de Prince mais c’est pour la présentation dans « livre de guerre » du bouquin de sa fille.

Elle figure intégralement dans un ouvrage d’un nommé Alfred Détrez journaliste et ami du défunt paru moins de 6 mois après l’ assassinat en août 1934.
Il relate avec plus de détails deux incidents qui se sont passés lors du transport en voiture par les truands du conseiller Prince de Dijon à Talent où ils ont été aperçus par des témoins.
Une dame Marin qui allait chercher sa fille à l’école à pied, a failli être heurté par une voiture, elle-même prise dans un embouteillage (oui il y avait des embouteillages en 1934). Elle a très bien vu à travers les carreaux un homme qui se débattait entre 2 autres et qui criait « À moi, à l’aide ! ».
Elle a retenu le N° minéralogique mais sa fille n’avait pas de crayon. Rentré à la maison son mari l’a dissuadé de prévenir les gendarmes. Le lendemain elle apprend le crime de la Combe aux fées. Elle a prévenu les gendarmes mais elle ne se souvenait plus exactement du numéro minéralogique.
Encore maintenant il y a un partisan du suicide de Prince paru dans un livre mais cette hypothèse ne tient pas la route compte tenu des expertises et contre-expertises et des enquêtes.
Le commissaire Guillaume de Paris dans son rapport, voulant faire plaisir à la hiérarchie judiciaire (dont le procureur général Pessard, beau-frère de Chautemps), avait développé un compte-rendu ou les arguments en faveur du suicide étaient prépondérant mais il a bien fallu qu’en conclusion il penche pour l’assassinat.
Le conseiller Prince, attiré dans un guet-append qui l’informait que sa mère avait été opérée d’urgence, en débarquant de la gare de Dijon et après avoir posé sa valise à l’hôtel Morot en face de la gare, s’est dirigé non pas, bien sûr, vers la maison de retraite 40 rue Condorcet à 600 m. mais dans une voiture que l’assassin mettait à sa disposition pour aller à la clinique. Il ne s’agissait pas d’une clinique…
Très cordialement *** / *** |
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