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Mémento des principaux mouvements politiques collaborationnistes
sous Vichy.
- PPF : Parti Populaire
Français (Jacques Doriot) - organe de presse: "Le Cri du Peuple de
Paris"
- MSR : Mouvement Social Révolutionnaire (Eugène
Deloncle)
- CSAR : Comité Secret d'Action
Révolutionnaire - appelé par dérision "La Cagoule". - organe de presse:
"La Vie nationale".
- RNP : Rassemblement National
Populaire (Marcel Déat) - organe de presse: "L'Oeuvre".
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La Parti franciste (Marcel Bucard) - organe de presse:
"Le Francisme".
- PFNC : Parti Français National
Collectiviste (Pierre Clementi) - organe de presse: "Le Pays
Libre".
- La Ligue française (Pierre Constantini) -
organe de presse: "L'Appel".
- Le Front franc
(Jean Boissel) - organe de presse: "Le Réveil du Peuple".
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Le Feu (Maurice Delaunnay) - organe de presse: "La
Tempête".
- Le Groupe Collaboration (Alphonse de
Châteaubriant) - organe de presse: "La Gerbe".
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| - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Dans ce texte : Précisions de Christian Favre le mardi 12 avril 2011 à 13h01
Dans l’interview montré par René Claude :
En 1942 et 1943, deux cent cinquante médecins et infirmières suisses
Les 37 médecins et les 30 infirmières de cette mission avaient été envoyés à Smolensk en octobre 1941
Il faut noter que l’autorisation de cette mission, la Confédération suisse n’en assurant pas le financement, à fait suite à une pression inouïe de l’Allemagne pour que la Suisse participe militairement à l’invasion de l’URSS !
Le financement s’est donc fait en partie par la Croix rouge suisse (frs 150'000), par le bénévolat et probablement par des frontistes pro Allemands.
« et pourtant la majeure partie des médecins et infirmières s’étaient engagés avant tout pour apprendre à connaître une chirurgie et une médecine militaire fort peu développées dans leur pays » (Edgar Bonjour Histoire de la neutralité Vol IV p446)
La Télévision suisse romande a-t-elle également signalé que des missions semblables ont eu lieu en Grèce et en Yougoslavie au profit des partisans de Tito ?
La Centrale sanitaire suisse organisa plusieurs missions médicales privées, notamment en Yougoslavie, au service de l’armée du maréchal Tito(Edgar Bonjour Histoire de la neutralité Vol IV p446)
Dans l’interview montré par René Claude :
Dès 1944, la Suisse a dû justifier sa compromission face aux Russes et aux Américains
La Suisse de ces années a effectivement toujours perçu la Russie stalinienne comme un état totalitaire, donc dangereux. Elle était au courant des exactions staliniennes.
Par contre la compromission face aux Américains, ça c’est un mythe vu la collaboration entre l’armée suisse et les Américains établis à Berne : 150 ! Il n’y a qu’à se référer aux propos de Dulles, Roosevelt, Churchill (Alliés) et Curie. L’avis d’obscurs fonctionnaires on s’en…
Dans l’interview montré par René Claude :
Contrairement à ceux qui ont essayé avant moi, je ne suis pas arrivé en leur demandant «Pourquoi vous êtes-vous tu?»,
Texte de Werner Rings rapportant les conférences du Dr Bucher
Il parla une centaine de fois, devant des unités de l'armée et des sections de la société des samaritains, dans des milieux appartenant à diverses tendances politiques. II eut 150000 auditeurs. Il faisait part de ses observations et constatations médicales rapportées du front de l'Est, décrivant aussi l'exécution d'otages à Smolensk. Des vues rapportées par un confrère étaient projetées sur l'écran. *** / *** |
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