le Glossaire de Francis a trouvé :| - | Dirigeant d'un "Gau", district administratif du Reich.
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| - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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AK - Armeekorps - Allemagne |
AK - Armia Krajowa - Pologne |
| - | L'Armia Krajowa - Armée de l'intérieur - fut le principal mouvement de résistance polonais sous l'occupation allemande. L'AK se distinguera particulièrement en lançant l'insurrection de Varsovie, en août 1944, son action la plus connue.
- Sur Wikipedia, l'historique de l'AK : 
- Infos supplémentaires :
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Dans ce texte : "Erich Koch" de G.P. le mardi 05 octobre 2010 à 08h02
Bonjour,
..... A la prison de "Neubau" de Königsberg (Kaliningrad) :
- En Prusse Orientale, avant guerre, officiait un tribunal ( Strafsenat bei dem Oberlandesgericht) dans un batiment tout neuf, rue Berneker 2/4. Jusqu'à la déclaration de la guerre, les condamnés à mort étaient décapités à la hache (ils étaient maintenus par des chaînes sur un "billot" d'acier et de chêne).
- En 1940, c'est Erich Koch, le Gauleiter de Prusse Orientale qui instaure la guillotine. C'est le modèle parisien légèrement modifié avec une lame de 56 kgs. Elle était installée dans les sous-sols du tribunal. Son utilisation devait faire face, en tant qu'instrument de terreur, aux premiers mouvements de résistance dans cette partie de la Pologne (Suwalki) en s'adressant tout particuliérement aux jeunes Polonais (scouts et étudiants). (premières arrestations massives le 20/4/1940, date anniversaire). Apres un bref passage devant le célèbre procureur général Bringmann, le condamné regagnait l'une des cellules marquées des lettres "U", "S" et "Z" : "Z" étant le couloir de la mort. La guillotine fonctionnait nuit et jour suivant une procédure tres précise : le condamné pouvait écrire une dernière lettre traduite en allemand par Kuchner; une mèche de cheveux était coupée (lettre et cheveux étaient expédiés à la famille); il était ensuite transfusé (le sang étant destiné aux WIA de l'hôpital militaire de Königsberg); puis exécuté. Enfin, toujours dans le sous-sol, le corps était étudié dans une salle réservée aux étudiants en médecine allemands.
Des centaines de condamnés connaitront ce destin dont de tres nombreux jeunes Polonais (18-20 ans) mais également des membres d'AK et des étrangers dont des Français (parachutistes ?).
Le guillotine était également utilisée à Poznan et Breslau.
- Tres peu de documents traitent ce sujet (j'en ai récupéré un seul, datant de 1964, édité à Lublin, qui reproduit la dernière lettre des condamnés, leurs photos et celles des méres devant les cheveux de leur gamine. On peut citer : Adela Gadomska, 20 ans; Irena Piwarska; Leokadia Orlowska; Helena Dziczkowska; Zofia Niciunska; Rozalia Liszewska ... QUE DES GOSSES qui ont connu la barbarie ALLEMANDE.
Cordialement *** / *** |
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