 La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Zone - Résistance (France) |
- | En zone Nord occupée, les régions étaient désignées par les lettres:
P : région de Paris.
A : région d'Amiens.
B : région de Bordeaux.
C : région de Châlons-sur-Marne.
D : région de Dijon.
M : Région de Le Mans.
En zone Sud, les régions étaient désignées par la lettre R suivie de 1 à 6.
(voir "R")
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- | Désigne l'ancienne Zone Occupée (ZO) qui devint Zone Nord (ZN) après l'invasion par les troupes allemandes de la zone libre (ZL) ou Zone Non Occupée (ZNO) qui elle devint Zone Sud (ZS).
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Dans ce texte : là je diverge de françois delpla le jeudi 21 janvier 2010 à 16h56
Boisbouvier ne m'en voudra pas si je dis que je l'ai croisé en juin dernier au colloque du père Desbois sur l'opération 1005 et qu'il n'avait pas l'air d'être là pour lancer des boules puantes.
Je ne crois donc pas qu'il soit négationniste, même si je suis comme vous indigné de l'usage qu'il fait de la pseudo-thèse de Roques.
C'est plus grave en un sens : il est tellement fanatique de Pétain, et déstabilisé par les preuves de la complaisance de son idole envers le pire (cf. sa non-réponse persistante sur Faÿ, si utile dans la traque des Juifs en zone nord sur l'ordre de Pétain et sans contrainte allemande aucune), qu'il ramasse n'importe quel argument, jusqu'à faire un bout de route avec qui nie ce pire.
En fait il nous prouve que la masse des faits trouvés par Joly le déstabilise : il lui faut donc une clé simple pour pouvoir y trier ce qui l'arrange et il ne trouve cette clé que dans la disqualification générale de l'institution universitaire, dont après l'affaire Roques aucune thèse ne serait plus crédible.
J'insiste donc pour que nous restions dans les limites d'un débat d'idées, sans nous donner la facilité de coller des étiquettes et de croire en avoir fini ainsi : laissons-lui donc ce genre de méthode. *** / *** |
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