Décryptage du forum "Livres de guerre"
Pour profiter de
tous les avantages
de ces pages, vous
devez accepter
les cookies



Forum
des livres, revues, sites, DVD, Cd-rom, ... , sur la 2e Guerre Mondiale, de 1870 à 1970
 
 L'accueil
 Le menu
 Le forum
 Les livres
 Ajouter un livre, ...
 Rechercher
 Où trouver les livres ?
 Le Glossaire
 Les points
 Les pages LdG
 L'équipe
 Les objectifs
 La charte
 Droit de réponse
 L'aide
 
 
 

 

LA CAPTIVITE - Yves Durand
La description du sujet




Remarque :

Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules

Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement

§:c (

 

le Glossaire de Francis a trouvé :


Commission allemande d'armistice - CAA - Vichy
-

La CAA siégeait à Wiensbaden.


Scapini (Georges) - France
-

(1896-1976) Georges Scapini est à la tête du Service diplomatique des prisonniers de guerre à Berlin, avec le rang d'ambassadeur. Aveugle de guerre, député nationaliste de Paris depuis 1928, il se fit le défenseur des Croix-de-Feu au Parlement lors des événements de février 1934. Président du Comité France-Allemagne depuis sa fondation en 1935, il en décida la dissolution six mois avant la déclaration de guerre. Membre du Comité de liaison parlementaire pour la défense de la paix formé en août 1939, il vota les pleins pouvoirs à Pétain. Arrêté en mai 1945, mis en liberté provisoire, il se réfugiera en Suisse en novembre 1949 à l'ouverture de son procès; la Cour de justice de Paris le condamnera par contumace à cinq ans de travaux forcés. Après s'être constitué prisonnier, il sera acquitté le 26 juillet 1952 par le tribunal militaire de Paris.


Zone - Résistance (France)
-

En zone Nord occupée, les régions étaient désignées par les lettres:
P : région de Paris.
A : région d'Amiens.
B : région de Bordeaux.
C : région de Châlons-sur-Marne.
D : région de Dijon.
M : Région de Le Mans.

En zone Sud, les régions étaient désignées par la lettre R suivie de 1 à 6.
(voir "R")


CICR - Comité International de la Croix Rouge - Divers
-

Le site de l’institution :


PG - Prisonnier de guerre

Dans ce texte :

Rawa-Ruska et Scapini de Laurent Laloup le jeudi 10 décembre 2009 à 09h22

Bonjour,

Il s'agit du camp de Rawa-Ruska, en Ukraine effectivement. (une page sur ce camp : )
Pour votre seconde question, je crois que le gouvernement de Pétain avait pris à son compte les missions normalement effectuées par le CICR.

Le gouvernement de Vichy avait établi deux organismes principaux chargés de veiller au sort des prisonniers
de guerre français en Allemagne. Le premier était le Service diplomatique des prisonniers de guerre (S.D.P.G.),
plus connu sous le nom de « Mission Scapini », du nom de l'ambassadeur qui le dirigeait. Installé à Paris, ce
service avait à Berlin une Délégation à l'inspection des camps, dite Délégation de Berlin. Seul service habilité
pour négocier avec le gouvernement allemand toutes les questions touchant les prisonniers de guerre, le S.D.P.G.
se vit confier les attributions de la Sous-Commission des prisonniers de guerre de la Délégation française auprès
de la Commission allemande d'armistice, dissoute dès le 31 janvier 1941.
Le second organisme créé par le gouvernement de Vichy était la Direction du service des prisonniers de
guerre (D.S.P.G.), avec sa Sous-direction, en zone occupée, à laquelle fut rattaché le Centre national
d'information sur les prisonniers de guerre (C.N.I.P.G.).



Dans ma presentation du livr de Yves Durand, j'ecrivais


"Enfin, grand fut mon étonnement, que d’apprendre que la politique de Vichy connut avec les prisonniers de guerre , un de ses plus grands échecs. En effet, Vichy refusa qu’une puissance neutre assura la protection des prisonniers comme le prévoyait la Convention de Genève. « Il sort ainsi du cadre des rapports de négociation dont il espère pouvoir tirer pour les prisonniers des avantages. « Ainsi on écarte « les possibilités d’intervention d’une puissance indépendante, sur laquelle les Allemands n’avaient pas de prise, les Etats-Unis, alors que le gouvernement francais n’était évidemment pas dans ce cas .

C’était se prêter à des rapports avec un partenaires ayant pour lui la force, qui détenait les P.G., pouvait les utiliser comme un gage, faire à leur propos du chantage. Dans ces conditions, le gouvernement de Vichy ne pourrait éviter les concessions. Il ne pourrait en outre échapper à toutes les interprétations, habiles ou grossières, de son attitude, de la part des Allemands auprès des prisonniers»

Ainsi, on verra ce gouvernement abdiquer lorsque les Allemands obligeront les sous-officiers prisonniers a travailler.
"


Cordialement
Laurent

*** / ***

Consulter ou enrichir le Glossaire de Francis



Pour contacter les modérateurs : cliquez !

 bidouillé par Jacques Ghémard le 1 1 1970  Hébergé par PHP-Net PHP-Net  Temps entre début et fin du script : 0.06 s  3 requêtes