le Glossaire de Francis a trouvé : Barbarossa - Allemagne nazie |
- | Nom de code de l'attaque allemande lancée contre l'URSS le 22 juin 1941.
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- | Le webslave après un repas de spaghetti ?
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Wehrmacht - Allemagne nazie |
- | L'armée allemande sous le IIIe Reich. Littéralement Wehrmacht signifie "puissance (ou force) défensive". L'armée allemande prend ce nom en 1935 à la place de "Reichswehr" (voir ce terme).
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Dans ce texte : Hors-Série N° 11 : Barbarossa - Tome 1 de Francis Deleu le vendredi 02 octobre 2009 à 13h21"Barbarossa" représente l’apogée du programme conçu par Adolf Hitler dans les années 1920-30. Vingt ans d’efforts, de promesses – tenues ou non – de calculs politiques et diplomatiques, d’expansion territoriale puis de guerre auront été nécessaires pour en arriver à cette
pour en arriver à cette effroyable mise en pratique d’un rêve de grandeur : la conquête du Lebensraum, « l’espace vital » de l’Allemagne national-socialiste. Staline, lui, jusqu’au bout, croira à la possibilité d’un accord avec ce dictateur allemand qui lui ressemble tant. Un improbable malentendu, à l’origine de l’une des plus grandes catastrophes militaires de l’Histoire.
L’invasion de l’URSS, le 22 juin 1941, n’en finit pas de diviser historiens et spécialistes. Pourquoi Hitler, alors au zénith de sa puissance, puisqu’il règne en maître sur l’Europe continentale, prend-il le risque de marcher sur les pas de Napoléon ? Et comment expliquer que Staline et l’Armée rouge se soient à ce point laissés surprendre ? En vérité, ces deux questions sont intimement liées. Hitler avait très tôt conçu de s’attaquer à la Russie « judéobolchevique », ce que Staline a tout simplement refusé de prendre en compte dans sa stratégie, y compris même aux premières heures de l’offensive allemande.
Publiée en deux volets successifs, l’étude de Nicolas Bernard, richement illustrée de photos inédites, de profils originaux mais aussi de cartes claires et didactiques, revient sur les débuts de la plus grande campagne militaire de tous les temps. Outre ses trois chapitres principaux et ses annexes, cette publication propose aussi des articles visant à éclairer des points historiques précis. De la préparation de « Barbarossa », de ses premiers succès contre les Soviétiques, jusqu’au début septembre 1941, jusqu’à la chute de Kiev, ce premier tome s’inscrit dans la plus pure tradition des numéros hors-séries de Batailles & Blindés : massifs, précis, rigoureux, abondamment illustrés!
Au sommaire
Chapitre 1 : Une invasion programmée depuis 20 ans. Annexe 1 : La théorie du brise-glace
Annexe 2 : La Wehrmacht, une armée contrastée. Chapitre 2 : Désastre aux frontières.Annexe 3 : La satellisation de l'Europe sud-orientale par l'Allemagne Chapitre 3 : Le choc des titans.*** / *** |