La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : Combat - Résistance (France) |
- | L'un des premiers mouvements de résistance en Zone Sud. Fondé par Henri Frenay. Le mouvement "Combat" est issu de la fusion du MLM (Mouvement de Libération Nationale)d'Henry Frenay et Bertie Albrecht avec le Mouvement des Démocrates Chrétiens "Libertés".
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Hardy (René) - Résistance (France) |
- | Ingénieur SNCF, recruté par le mouvement "Combat", chef du NAP-Fer (Noyautage des Administrations Publiques - la SNCF.
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Dans ce texte : A propos de René Hardy de René CLAUDE le jeudi 10 octobre 2002 à 00h06Bonsoir/Bonjour,
On ne connait que la face sombre de René Hardy. La mémoire de la résistance ainsi que celle de la SNCF ont "oublié" qu'il fut un cadre courageux du mouvement "Combat". Il avait été coincé par la police de Vichy alors qu'il essayait de passer en Afrique du Nord. C'est à la prison militaire de Toulon qu'il a connu Pierre de Bénouville en 1941 alors que ce dernier avait été arrêté à Alger et renvoyé sous bonne garde à Marseille .
(l'un des premiers pseudos de René Hardy était Chauvy...)
En 1942, il est nommé chef des opérations de sabotage ferroviaire. C'est le général Durmeyer qui l'avait fait entrer à "Combat".
Baynac prétend - sans preuve - que René Hardy a travaillé pour Dulles, alias Ledantec, depuis l'été 1940... et qu'il continua à lui transmettre des renseignements à Berne grâce aux bons soins du 2e bureau de l'armée d'armistice...Une chose reste curieuse, c'est la très (trop ?) rapide ascension de Hardy dans les instances supérieures de "Combat"... Il a certainement bénéficié de soutiens importants et sa vieille complicité avec Bénouville a joué dans cette progression hiérarchique.
A défaut de documents probants, il faut reconnaître qu'il fut un résistant efficace et courageux jusqu'à son arrestation le 7 juin 1943 dans le train de Paris alors qu'il se rendait au rendez-vous du général Delestraint.
Je trouve important de le mentionner dans ce débat.
Amicalement,
René Claude *** / *** |
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