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SS - Histoire du service secret nazi - André Brissaud
La description du sujet




Remarque :

Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules

Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement

§:c (

 

le Glossaire de Francis a trouvé :


R - Résistance (France)
-

Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).

En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")

Dans ce texte :

Le challenge... de françois delpla le dimanche 25 janvier 2009 à 18h50

... était fixé ci-dessus, dans mon message "paille et poutre" :

C'est vraiment s'ingénier à ne rien comprendre à ma démarche que de croire que les documents faisant état de trahisons me gênent et que je les écarte. C'est de la méchanceté pure, gratuite et affligeante... pour vous.

Ou alors serez-vous capable d'en donner un exemple, juste un ?

Et s'il vous reste un peu d'énergie, peut-être irez-vous jusqu'à me donner une preuve véritable, tangible et indubitable de trahison, antérieure aux abords immédiats du 20 juillet 44 ?


A la première demande répond, je pense, votre passage suivant :

dans un autre échange sur un sujet voisin, à savoir l'attitude de Himmler, vous refusiez de prendre en compte les éléments montrant que Himmler avait connaissance des menées des opposants au régime qui aboutiront à l'attentat du 20 juillet 1944.

Je ne retrouve pas le passage en question mais il me semble que je ne niais pas toute connaissance par Himmler des préparatifs. Cela va même dans mon sens, puisque j'ai la très forte impression que toutes ces conspirations dont on nous parle depuis la veille de la remilitarisation de la Rhénanie étaient largement infiltrées. Mais le jeu est risqué, évidemment, et quelque chose peut échapper : en l'occurrence, le fait qu'une personne ayant ses entrées aux conciliabules d'état-major chez Hitler, à savoir Stauffenberg, était en possession d'une bombe et décidée à s'en servir. Tant qu'on n'avait pas pris conscience de cela, on pouvait toujours laisser courir, et discourir, un Beck ou un Goerdeler.

Quant au deuxième défi (trouver une réelle trahison, nettement plus nuisible qu'utile aux nazis, avant le printemps 1944), vous ne le relevez pas. Alors que, par exemple, le fait que les fuites sur une attaque contre le Benelux le 10 mai 40 ont favorisé, loin de la gêner, la percée de Sedan, me semble un bel exemple de l'intérêt qu'avaient les nazis à laisser agir Oster.

Cela dit, je suis loin d'être au bout de mes investigations et j'admets que je n'ai pas encore une connaissance assez détaillée de toutes ces menées. Ma thèse est fondée sur une connaissance générale du Troisième Reich et de son fonctionnement manipulateur, approfondie sur un certain nombre de dossiers, de l'arrêt devant Dunkerque à la mort de Mandel. Pour ce qui est de la "trahison" de Himmler, je n'ai pas encore tellement travaillé dessus et mon idée qu'elle est fausse reste en partie une hypothèse de travail. En revanche, il est clair pour moi qu'en février 45 et jusqu'à sa mort Hitler garde une grande partie de ses aptitudes et de ses habitudes. L'idée qu'il se terre en refusant de croire les mauvaises nouvelles est archi-fausse. L'affaire de la "terre brûlée" qui permet à Speer de sauver sa tête à Nuremberg est une faribole : si Hitler avait voulu brûler l'Allemagne il l'aurait fait. Et le fait qu'il ait fait semblant en dit long.

*** / ***

Consulter ou enrichir le Glossaire de Francis



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