Décryptage du forum "Livres de guerre"
Pour profiter de
tous les avantages
de ces pages, vous
devez accepter
les cookies



Forum
des livres, revues, sites, DVD, Cd-rom, ... , sur la 2e Guerre Mondiale, de 1870 à 1970
 
 L'accueil
 Le menu
 Le forum
 Les livres
 Ajouter un livre, ...
 Rechercher
 Où trouver les livres ?
 Le Glossaire
 Les points
 Les pages LdG
 L'équipe
 Les objectifs
 La charte
 Droit de réponse
 L'aide
 
 
 

 

SS - Histoire du service secret nazi - André Brissaud
La description du sujet




Remarque :

Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules

Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement

§:c (

 

le Glossaire de Francis a trouvé :


SR - Service de Renseignements - France libre
-

Créé et dirigé par le colonel Passy, le SR deviendra le BCRAM (Bureau Central de Renseignements et d'Action Militaire), précurseur du BCRA.


SR - Parti socialiste révolutionnaire - Union soviétique
-

Parti socialiste révolutionnaire. Créé en 1902, le Parti socialiste révolutionnaire se réclame des traditions populistes du mouvement révolutionnaire russe. Plus proche du monde paysan que du monde ouvrier, le SR entrera en conflit avec le parti de Lénine.

Dans ce texte :

De la trahison de Masson de Christian Rossé le jeudi 08 janvier 2009 à 12h24

Bonjour, Monsieur Delpla,

« Trahison d’état », dites-vous. Trahison d’état de « suissité », probablement, en rendant publiques – par l’entremise d’un journaliste étranger qui plus est – ses relations privilégiées avec un général étranger – vaincu de surcroît. La Suisse, du moins une frange importante de sa population et de ses élites, n’aime pas du tout lorsqu’éclatent des affaires qui portent atteinte à l’image de sa neutralité. Et j’insiste sur le terme d’image, car Masson n’a en rien porté atteinte à la neutralité stricto sensu, les liaisons du SR suisse avec les services de renseignements alliés (objet de mes travaux actuellement) et ses propres relations avec Allen Dulles contrebalançant très largement la ligne Masson-Schellenberg.
Officiellement, la Suisse n’espionne pas. Elle n’entretient pas de relations avec les espions étrangers non plus. Idéalement, elle observe l’autre côté de la frontière à la jumelle et en lisant les journaux. Masson avait compris que ce n’était plus ainsi qu’on faisait du renseignement, mais la manière officieuse qu’il a adoptée, semble avoir été incompatible avec ses valeurs et son caractère, notamment avec son besoin de reconnaissance.

Trahison de son état de chef d’un service de renseignement, certainement pas – l’épisode de la confirmation de l’alerte Wiking mis à part, évidemment.

Vous avez raison de dire que « rencontres personnelles avec le chef des renseignements suisses », c’est « le gros lot ». La ligne Masson-Schellenberg était une relation gagnant-gagnant.

*** / ***

Consulter ou enrichir le Glossaire de Francis



Pour contacter les modérateurs : cliquez !

 bidouillé par Jacques Ghémard le 1 1 1970  Hébergé par PHP-Net PHP-Net  Temps entre début et fin du script : 0.03 s  3 requêtes