La description du sujet
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§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé :
Archives nationales - AN - France |
| - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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FO - Foreign Office - Grande-Bretagne |
| - | Foreign Office ou le Ministère des Affaires étrangères pour les Britanniques.
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Dans ce texte : La défense d'Allen de Auteur anonymé le jeudi 13 novembre 2008 à 13h24
A la fin de l'édition américaine de Himmler's secret war (2006) :
Allen revient sur la polémique suscitée par l'introduction aux archives britanniques de trois documents découverts par lui à l'automne 2003 dans le cadre de ses recherches. Ces trois documents permettraient de douter que Himmler se soit suicidé. Allen publie ses trois documents archivés sous les cotes FO 800/868 et HS 8/944.
Allen admet que certains documents déclarés comme faux le soit probablement. Il s'étonne cependant de la manière dont les choses se sont passées. Il dit que les trois documents ont été déclarés faux par un journaliste anglais qui, semble-t-il, n'avait aucune expérience de ce type de documents. Celui-ci serait allé seul à Kew, aurait demandé plusieurs dossiers et infailliblement (unerringly) serait tombé sur quatre documents (préalablement examinés par plusieurs éminents historiens dont Allen) pour s'interroger sur leur authenticité. Ce qui aurait conduit les archives nationales à faire examiner les docs en question par une agence extérieure en dépit du fait que les archives ont leurs propres experts en matière d'examen de pièces. Je crois, dit Allen, que cette situation est sans précédent dans l'histoire des archives britanniques.
Allen s'interroge ensuite : Des faux ont-ils été introduits dans les archives OU des documents "réels" ont-ils été remplacés par des faux pour masquer certaines activités britanniques durant la guerre ? Ces documents, dit Allen, vus par moi et d'autres ne pouvaient donc plus être soustraits des archives. La seule manière vraisemblable de protéger la réputation du PWE était de corrompre les archives avec des faux pour introduire le doute sur les preuves.
Les archives britanniques vont avoir de gros problèmes, conclut Allen, en remarquant que l'expiration des délais concernant de nombreux documents classifiés approche. Que se passera-t-il alors ? s'interroge Allen. Les autorités britanniques vont-elle prolonger les délais de non-consultation OU vont-elles chercher à en saper (undermine) l'impact en "semant" dans les archives des faux pour atténuer l'impact de nouvelles révélations ?
Enfin, Allen affirme qu'il n'a aucune preuve que les documents déclarés faux sont les mêmes que ceux qu'il a examiné en 2003 et se demande si une telle manoeuvre n'a pas pu être menée pour ruiner sa crédibilité et celle de son livre. *** / *** |
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