 La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Wehrmacht - Allemagne nazie |
- | L'armée allemande sous le IIIe Reich. Littéralement Wehrmacht signifie "puissance (ou force) défensive". L'armée allemande prend ce nom en 1935 à la place de "Reichswehr" (voir ce terme).
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Dans ce texte : Mission impossible de Francis Deleu le samedi 25 octobre 2008 à 19h39
Bonsoir,
Lorsque la réalité d'Auschwitz s'imposa au fil du décryptage des messages allemands, des missions secrètes, des rapports sans équivoque et plus particulièrement des photographies aériennes confirmant la présence des crématoires, Churchill aurait demandé d'entreprendre un action de bombardement du camp. Une étude de faisabilité montra que les résultats d'un tel raid étaient loin d'être acquis.
Bombarder le camp aurait abrégé le calvaire de la plupart des détenus mais aurait également été un prétexte pour la propagande allemande qui aurait associé les Alliés à leur folie exterminatrice.
Bombarder les voies d'accès aurait prolonger le calvaire des déportés entassés dans des wagons à bestiaux.
Tim Larribau dans son article montre également qu'une opération aéroportée n'était pas non plus une option viable. Il estime que pour envisager la libération d'un seul camp, une division aéroportée de 10.000 hommes aurait quelques chances d'investir un camp moyennant de lourdes pertes. Mais après ? Ou aller ?
L'historien Michael Marrus rétorque à ceux qui intentent un procès pour non-assistance à peuple en danger ou qui font la morale aux Alliés qui ne sont pas intervenus à l'époque :
Si l'Holocauste fut effectivement sans précédent, il n'existait pas à l'époque, de système de référence sur lequel se baser, ni de guide pour décider des actions à entreprendre, et personne n'y voyait vraiment clair.
Nous pourrions tout aussi bien reprocher à la Résistance de n'avoir rien entrepris pour stopper un convoi au départ du pays d'origine en territoire connu et moins hostile pour les déportés qui parviendraient à s'échapper et se fondre dans la nature. Une seule exception : le XXe convoi parti de Malines (Belgique) vers Auschwitz.
Ou encore ! Mais est-ce un bon exemple : Les priorités de la Wehrmacht
Bien cordialement,
Francis. *** / *** |
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