le Glossaire de Francis a trouvé : Barbarossa - Allemagne nazie |
- | Nom de code de l'attaque allemande lancée contre l'URSS le 22 juin 1941.
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- | Le webslave après un repas de spaghetti ?
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Dans ce texte : tous les autres... de 13emeDBLE le lundi 16 juin 2008 à 10h49
Tous les autres livres démontrent le contraire.
Je vous invite à lire les livres de David Glantz sur l'armée soviétiques juste avant Barbarossa. Les aspects techniques, tactiques et stratégiques y sont développés à partir des archives soviétiques déclassifiées par tonnes entières après 91...
Rien, à part des déclarations de propagande, ne permet d'affirmer qu'il existait un plan soviétique d'attaque de l'Europe de l'Ouest en 1941, ni même aucune étude préparatoire sérieuse pour 1942.
Je le répète, il ne suffit pas à mon humble avis de dire que techniquement, l'armée soviétique ne pouvait pas attaquer (c'est un fait, vu les performances contre la Finlande). Mais en revanche, l'absence d'étude et de projet d'attaque ressort clairement de l'absence de préparation.
Une offensive stratégique suppose un travail préparatoire d'état-major qui prend (nous sommes en temps de paix rappelons-le) plusieurs mois...
Là rien, donc impossible d'attaquer en 15 jours, ni même avant au moins un an (à condition de passer début juin 41 à la préparation ce qui n'est pas le cas).
Les rumeurs colportées ça et là après-guerre (par des témoins indirects dans tous les camps) ne permettent pas de compenser sérieusement l'absence de documents d'époques.
Pour ce qui est de la destruction des fortifications (sur laquelle je n'ai rien trouvé pour l'instant), il est clair que Staline ne s'attendait pas à une attaque de hitler, et qu'elles étaient dépassées par la nouvelle frontière, donc inutiles.
J'insiste, tirer de ces deux constats un syllogisme démontrant une volonté d'attaquer est un raisonnement erroné. Ce n'est qu'une opinion personnelle, bien sûr...
CM *** / *** |