La remarque de Jacques de Launay s'inscrit dans le contexte de l'entretien du 18 octobre 1940, à l'Oberzalsberg, entre la princesse Marie-José et Hitler. L'historien épingle les différences entre le compte-rendu de l'interprète Schmidt et celui que fit la princesse à son frère le roi Léopold III. Pouvait-il en être autrement ? Tout rapport ne passe-t-il par le filtre des interprétations personnelles ?
Un bel exemple ! Je relis les "Mémoires d'outre-guerre - Comment j'ai gouverné la Belgique de 1940 à 1944" du général von Falkenhausen. Le commandant militaire y apparaît comme un homme de bien, aristocrate hautement cultivé (ce qu'il était), toujours préoccupé à rechercher le bien-être de ses "administrés" belges...., ne reconnaissant qu'un seul adversaire : Hitler. Le livre séduit notamment un chroniqueur qui écrit :Certains y verront un plaidoyer "pro domo", d'autres y trouveront la sincérité et le courage d'un homme qui a fait de son mieux dans la pire des situations.
C'est aussi l'avis, d'une certaine manière, de Jacques de Launay.
Bien cordialement,
Francis.*** / ***
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