 La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : - | Nom donné à l'ensemble colonial français à la péninsule qui comprenait les trois ky (provinces) viêtnamiens: la Cochinchine (au sud), l'Annam (au centre) et le Tonkin (au nord) ainsi que le Cambodge et le Laos.
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- | Le terme "Indochine" apparaît pour la premiere fois vers 1813 et regroupe le Tonkin, l'Annam, la Cochinchine, le Laos, le Cambodge.
Le terme s'écrit de trois façons: Indo Chine, Indo-chine ou Indochine. Le terme n'existe plus après le départ des Francais.
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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BCRA - Bureau Central de Renseignements et d'Action - France libre |
- | Services secrets de la France libre à Londres, dirigé par le colonel Passy.
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Dans ce texte : Numéros 247 et 248 de Laurent Boussaton le lundi 01 octobre 2007 à 18h56
bonjour
dans le numero 247 de la revue un
dossier special sur le renseignement dont un article sur les espionnes pendant
la guerre de 14; je pense ici en particulier a Miss Edith
Cavell fusille a bruxelles, le 12 octobre 1915; et un autre sur le
BCRA...entre autres:
dans le numero 248, un grand dossier
sur les sieges de l'autorite militaire; mais aussi un article sur l'Indochine et
des unites fort meconnues: les GAMO et les bataillons
legers:
"La France en Indochine doit faire face
à un conflit d’un nouveau type. Devant un adversaire qui joint le politique au
militaire et qui se donne pour objectif de maîtriser les populations, les
états-majors des forces françaises doivent trouver de nouvelles « recettes »
pour assurer la pacification des territoires qu’ils cherchent à contrôler. Le
Tonkin peut apparaître comme un laboratoire car cette région est l’enjeu d’une
lutte impitoyable. Les méthodes du passé ne sont plus d’aucune efficacité sur un
territoire où le Viêt-minh mène des opérations de plus en plus offensives.
L’EMIFT et le gouvernement vietnamien mettent en place de nouveaux dispositifs.
Les Groupements administratifs mobiles opérationnels (GAMO) doivent permettre le
rétablissement rapide de l’administration vietnamienne. Les bataillons légers
sont conçus à l’image des troupes régionales de l’adversaire. Les TDKQ doivent
permettre au commandement français de s’affranchir des missions de pacification
et donner à l’armée nationaliste un outil efficace de lutte contre les
infiltrations du Viêt-minh. Ces solutions, malgré un succès réel des GAMO,
arrivent trop tard pour permettre un retournement favorable de la situation
politique au Tonkin. Toutefois, ils auront eu le mérite de montrer que l’armée
française a été capable de s’adapter. La solution n’était pas dans la
réutilisation d’anciennes méthodes de pacification, mais plutôt dans une sorte
d’acculturation, pour laquelle l’armée française s’est inspirée très largement
de son adversaire.
Pacification en
Indochine Jean-Marc le Page"
bonne lecture
laurent *** / *** |
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