le Glossaire de Francis a trouvé : 2e DB - Deuxième Division Blindée - France |
- | Division mythique et pourtant bien réelle commandée par le général Leclerc. Symbole politique du renouveau et de la réunification de l'armée française. Elle n'est qu'une des 8 divisions françaises qui débarqueront en août 1944 et participèrent à la libération de la France avec les Alliés, mais elle les a un peu éclipsées. Elle est principalement connue pour la libération de Paris et Strasbourg qui furent pourtant ses combats les plus faciles.
La 2e DB fut divisée en 4 groupements tactiques (GT) désignés par l'initiale du nom de leur commandant.
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- | Une DB se compose organiquement de trois Régiments de Chars moyens, d'un Régiment de reconnaissance, d'un Régiment d'Infanterie porté à trois Bataillons, d'un Régiment de Tanks-Destroyers, d'une Artillerie divisionnaire à trois groupes de 105 automoteurs, d'un Groupe d'Artillerie antiaérienne, d'un Bataillon du Génie et de Services.
La DB se subdivise en trois Combat Command (CC).
(Source: Maréchal de Lattre).
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- | 2e DB est mythique - Voir Deuxième DB.
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Dans ce texte : méconnaissance de l'ampleur? de arcole le jeudi 13 septembre 2007 à 11h31
La tondaison des collaboratrices horizontales, comme l'épuration d'ailleurs, n'a frappé que des doses symboliques de victimes malchanceuses.
Avec 200.000 bébés germano français conçus entre 1940 et 1944 (et à moins de maternités multiples) on ne peut qu'entrevoir le chiffre REEL de coupables qui auraient dû être châtiées. D'autant plus que chaque relation n'a pas été forcément féconde.
Les millions de soldats allemands ayant transité par la douce France ont gardé un excellent souvenir de leurs tendres relations avec des Françaises, célibataires, mariées, ou épouses de prisonniers.
On a relaté l'anecdote, trop belle pour être vraie, mais sait on jamais, de ce libérateur de Paris, combattant de la 2e DB, qui n'avait pas revu sa femme depuis des années, et qui s'est empressé d'aller la serrer dans ses bras, dans l'ivresse du retour. Il l'a trouvée, enfermée au domicile conjugal, en compagnie d'un Allemand qu'elle tentait de faire échapper à la captivité. Le FFL les a flingués tous les deux. Et la justice militaire a été clémente. *** / *** |